CONTEXTE 2 PARTICIPANTS : @Daniel Zucker - @Gabriel Dixon Il y a des jours comme ça où on aurait mieux fait de rester coucher. C'est exactement ce que disait GOOD dont la journée était sous le signe de la malchance. GOOD pensait qu'elle était partie quand une pancarte affiché devant le restaurant italien le Armando's basé à Brooklyn affichait une promotion importante aujourd'hui. C'est l'esprit serein que GOOD rentrait dans le restaurant. Tellement serein que GOOD percutait un serveur qui portait une assiette de spaghetti à la bolognaise dont l'assiette finissait sur la tête de MORNING qui était installé et attendait impatiemment ce dit plat. Mamaia ! Catastrophe en vue. A vous de jouer !
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x. Morning est @Gabriel Dixon. Good est @Daniel Zucker x. Il n'a pas d'ordre de passage. x. Une fois fini, n'oubliez pas de faire la demande d'archivage merci. Bon jeu
Le petit plus Triggers: S/O Warnings: S/O Pronoms IRL: Elle Pseudo: Fanaud Pseudo discord: Fanaud Multicomptes: Gordon , Manuela, Thanos et Joseph Habitude rp: Il, autant de mots que nécessaire, peut varier, généralement 1X/semaine Couleur rp: Disponibilité rp: 0/5
Ce jour-là, Gabriel avait passé la matinée à l’université pour des réunions administratives particulièrement assommantes. Puisqu’il ne donnait pas de cours dans l’après-midi, il avait décidé de passer rapidement chez lui pour se rafraichir un peu avant de se mettre en direction du pont de Brooklyn. Il avait envie de profiter du reste de la journée pour aller se balader un peu, partir à la découverte d’un espace inspirant pour faire quelques croquis. Gabriel n’avait pas le moral depuis plusieurs semaines déjà. La peur le rongeait de l’intérieur, accentuant son anxiété chaque jour qui passait depuis que son meilleur ami était parti. Il ne dormait presque plus et passait son temps à repasser le fil des évènements dans sa tête. Il devait absolument se tenir occupé pour ne pas perdre la tête. La culpabilité était parfois si forte qu’il en faisait des crises de panique, même plus de deux mois après son décès. Gabriel ne parvenait pas à faire son deuil… et comment aurait-il pu? Il n’y avait même pas eu de funérailles puisque techniquement, Caleb était toujours considéré disparu. Mais Gabriel savait avec certitude que jamais il ne reverrait son ami vivant.
Une fois arrivé dans le quartier de Brooklyn, Gabriel avait trouvé un emplacement pour stationner sa voiture et était parti à pied pour en arpenter les rues verdoyantes, calepin et crayons bien rangé dans son sac messager. Il était bientôt midi et il commençait à avoir faim. En marchant, il tomba devant l’enseigne d’un restaurant dont il avait entendu parler, mais n’avait jamais eu l’occasion d’essayer, le restaurant italien Armando’s. En plus, il y avait justement une promotion sur leur spaghetti à la bolognaise. Voilà, c'était décidé, c’est ici qu’il ferait une pause le temps de se sustenter.
Il n’avait pas de réservation, mais sur l’heure du lunch, ça ne devrait pas causer de soucis. Un serveur l’accueilli donc dès son arrivée et après s’être enquis du fait qu’il serait seul, le dirigea vers une table située près d’une fenêtre. L’endroit était charmant et les effluves qui flottaient dans l’air lui confirmèrent qu’il avait bien fait de s’y arrêter. On lui remit la carte qu’il feuilleta pour la forme, car son choix avait été fait dès son arrivée : le spaghetti à la bolognaise. Il se commanda également un verre de vin rouge pour accompagner le tout. La consommation régulière d’alcool était son remède pour passer à travers ses journées, même si l’effet dépresseur qui en résultait n’aidait en rien son état par la suite. Il s’agissait d’un véritable cercle vicieux. Malgré tout, il arrivait encore à se tenir en public la plupart du temps et ses collègues ne semblaient pas avoir remarqué quoique ce soit, fort heureusement. Ce n’était pas le temps d’éveiller les soupçons.
Gabriel sorti de son sac son calepin à dessins ainsi qu’un crayon et commença à griffonner en attendant qu’on lui apporte son plat. Il y avait une dame âgée assise deux tables plus loin et elle ferait un sujet parfait pour son croquis. Il était enfin dans son élément, absorbé par les traits de crayon d’apparence désordonnés qu’il s’afférait à tracer sur le papier.
•• Statut marital : En début de relation alors que mon coeur bat toujours pour un amour impossible
•• Orientation sexuelle : Pour les deux sans distinctions
•• Métier / études : enseignant en littérature et je suis l'agent littéraire de Rhys Hawking
•• Quartier d'habitation : statent island
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Daniel Zucker
Dim 2 Juin - 7:09
Rien ne fonctionnait aujourd’hui. Absolument rien. J’aurais clairement dû rester dans mon lit, comme j’en avais envie en me réveillant ce matin. À l’abri du monde extérieur grâce à mes couvertures, je n’aurais pas mis à rude épreuve mon cœur encore une journée. Dès le réveil, j’ai vu les story de Brad avec cette fille. Zadkiel ne cesse de m’affirmer que ce n’est que sa partenaire de danse, qu’il n’y a rien entre eux, je ne peux pas empêcher cette jalousie et cette possessivité de brûler à l’intérieur de moi. Et Spencer qui est déjà reparti pour Dieu seul sait combien de temps. Je me sens maudit, comme Roméo dans Roméo et Juliette. Je ne peux pas aimer la personne que je veux sans que tout se complique. Je ne peux pas être avec Brad parce qu’il est plus jeune que moi, mon étudiant et que son père me menace de me faire arrêter si je continu à voir son fils. Et Spencer, il est toujours parti et toujours pas prêt à passer à l’étape supérieur. Je peux le comprendre que ça fasse peur, seulement… Ça fait des mois qu’on a commencé à sortir ensemble. Alors, entre la story de Brad et le sms de Spencer qui m’apprend qu’il doit repousser son retour, je me suis levé clairement du mauvais pied.
Comme si tout ça n’était pas suffisant, le seul court que j’avais aujourd’hui a été une catastrophe. J’avais oublié la moitié de ce dont j’avais besoin en plus d’être arrivé en retard. Au moins, Brad n’a pas pu arriver lui-même en retard et se faire remarquer pour une fois. En plus, j’ai manqué de concentration tout du long. J’ai arrêté le massacre, c’est-à-dire mon cours, plus tôt que prévu prétextant vouloir leur laisser plus de temps pour leur travail de fin de semestre. Ça passe crème et ils avaient tous l’air ravi d’être libre plus tôt. Au moins, ça fait quelques heureux. Et moi, ça me laisse plus de temps pour me flageoler.
Ayant vraiment besoin de réconfort, je me dis que ma jumelle est la meilleure option. Je sais que mes parents sont occupés aujourd’hui, donc qu’ils ne seront pas à leur domicile. Mais, je ne sais pas pour sœur. Et malgré le fait qu’une petite voix me dit que, avec ma chance légendaire de la journée, je vais me prendre une porte close, je prends ma voiture pour me diriger vers Brooklyn, là où ma sœur habite.
Me voici quelques temps plus tard à maudire ma malchance de la journée tout en marchant, main dans les poches, à travers le quartier. J’ai aucune envie de rentrer chez moi. Ça va juste empirer mon état encore plus. J’ai texté ma jumelle, j’attends une réponse de sa part. J’espère qu’elle ne sera pas longue parce que j’ai vraiment besoin de la voir. Je veux la voir. À la place, c’est une promotion afficher devant le restaurant italien Armando’s qui attire mon attention. J’ai presque l’impression qu’il me sussure de venir manger de délicieuses pâtes pour oublier tout mon malheur. Et il gagne haut la main. Juste l’odeur qui s’échappe du restaurant m’apaise comme jamais j’aurais pensé que ça le ferait. Mais, en même temps, j’ai tellement de bon souvenir. C’est ici qu’on a pu manger notre premier restaurant en famille lorsque les finances des parents se sont améliorés. On a fêté tellement de bonnes nouvelles dans ce restaurant que je ne peux que m’y sentir bien. Je suis tellement perdu dans ces bons souvenirs que je percute un serveur. Avant même de pouvoir faire quoique ce soit l’assiette se retrouve complètement vider sur la tête du bouclé assis à la table. Je me sens terriblement mal ! Finalement, c’est encore et toujours une journée de merde !
- Oh mon dieu ! Je suis terriblement désolé ! Je ne regardais pas où j’allais ! Je vais payer le pressing et le repas pour me faire pardonner !
Je me confonds en excuse. Je me dis que je n’aurais clairement pas dû sortir de chez moi aujourd’hui, ça aurait été tellement mieux pour tout le monde finalement.
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À son arrivée, Gabriel avait retiré son veston qu’il avait plié et déposé sur le dossier de la chaise en face de lui. Il portait une chemise blanche et un jean foncé et ses cheveux n’étaient pas attachés. Assis confortablement, Gabriel était particulièrement absorbé par son sujet, ne la quittant des yeux que pour rajouter des traits de crayon dans son calepin. Le portrait progressait rapidement et Gabriel était étonnamment satisfait. Il était loin d’être perturbé par les clients et les serveurs qui vaquaient autour de lui, dans une valse étourdissante à cette heure achalandée de la journée.
C’est pourquoi la surprise fut si grande quand soudain, un plat entier de spaghetti à la bolognaise fut renversé sur lui et plus spécifiquement sur sa tête, sa chemise et même son calepin de dessin qui récolta quelques gouttes de sauce tomate.
Il ne put retenir un cri de surprise, puis de douleur, car effectivement, la sauce tomate était brûlante. Il attrapa une serviette tandis par le serveur qui était sans mots devant une telle catastrophe. Il essuya sommairement son visage, tentant par la suite de sauver son croquis, mais en vain.
- Et bordel. C’est foutu., dit-il ignorant encore le client qui s’était adressé à lui.
Il lança son calepin plus loin sur la table et repoussa sa chaise pour se lever. Il n’avait pas trop le choix d’aller se nettoyer à la salle de bain, il était dans un état lamentable. Lorsqu’il leva enfin les yeux, il reconnu son collègue, professeur aussi à Columbia, en littérature. Ils ne se connaissaient pas vraiment, mais s’était croisés quelques fois sur le campus.
- Ah, donc c’est toi qui avait la tête dans les nuages et qui est la source de ce gâchis monumental! Écoute, c’est tellement rocambolesque que ça en est presque drôle. Daniel, c’est ça? Moi c’est Gabriel, j’enseigne aussi à Columbia, les arts, la peinture…
Il était en train de lui tendre la main et la serrer lorsque quelques spaghettis glissèrent le long de sa chevelure pour s'échouer au sol. De la sauce tomate coulait le long de son bras et dans son dos.
- Bon, je pense qu’il faudrait vraiment que je passe à la salle de bain pour me nettoyer et en enlever une couche au moins… Clairement, on pourra suivre mon trajet à la trace j’ai l’impression… Mais je veux bien poursuivre le repas en ta compagnie si tu étais seul également. Mine de rien, j’ai toujours faim moi! Je te rejoins dès que possible!
Il se dirigea donc vers la salle de bains des hommes que le serveur lui avait gentiment indiqué. Il se rendit directement au robinet et passa directement sa tête sous l’eau, frottant comme il le pouvait pour retirer les résidus de sauce et de pâtes dans ses cheveux bouclés. L’eau coulait rouge, puis rosé, puis devint claire après quelques minutes. Il épongea grossièrement ses cheveux avec du papier à main puis retira sa chemise qu’il mouilla entièrement dans le lavabo, frottant comme il pouvait avec du savon à main, puis rinçant abondamment. Il n’y avait pas grand chose à faire, cette chemise était maintenant devenue rose.
Il la passa un peu sous le séchoir à main avant de la revêtir à nouveau, fripée, tâchée et légèrement humide.
- Ah, c’est vraiment mieux maintenant, en plus, je ne sens presque plus la sauce tomate…
Il essuya quelques gouttes de sauce sur son pantalon puis se lava les mains avant de sortir de la salle de main et rejoindre son collègue.
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Daniel Zucker
Sam 21 Sep - 4:30
Je me sens terriblement mal en voyant la catastrophe que j’ai causé. Pourquoi je me suis levé ce matin ? J’ai juste enchaîné les catastrophes. Je suis une catastrophe aujourd’hui! Comment ma (non) relation avec Brad peut autant me virer à l’envers alors que c’est moi qui le repousse à chaque fois ? Même si ça me tue un peu plus à chaque fois. Mais, là, maintenant, c’est plutôt ma dernière catastrophe en liste qui m’occupe tout l’esprit. Au cri qu’il laisse échapper, je sais que la sauce de l’avoir brûler. Pourtant, il n’a fait que s’essuyer le visage sommairement avant de porter plus attention à son dessin. Que j’ai visiblement bousillé à cause de ma maladresse. Et je ne m’en veux qu’encore plus. Je peux lui payer le pressing pour que ses vêtements reviennent dans leur état d’avant. Au pire, je peux lui repayer une nouvelle tenue. Je peux aussi lui payer le repas pour me faire pardonner. Mais jamais je pourrais faire quelque chose pour lui rendre le temps de travail qu’il a passé sur ce dessin. Étant dans le domaine artistique aussi et travaillant comme agent littéraire pour quelques auteurs, je sais à quel point que le travail des artistiques sont vraiment important pour eux. Ils mettent leur cœur, leurs tripes dans tout ce qu’ils font alors bien sûr que je m’en veux terriblement ! Et le fait qu’il m’ignore me rend juste encore plus mal. Finalement, je ne sais pas si je préférais lorsqu’il m’ignorait plutôt que lorsque j’ai son attention puisque ces paroles me rendent très perplexe. Il ne semble même pas m’en vouloir ? Comment c’est possible ? Je lui serre la main en le reconnaissant enfin. Oui, le fait qu’il se soit présenter m’a un peu aidé. Mais pour ma défense je suis encore bien trop mal et perturber par tout ce qui s’est passé dans les dernières minutes.
- Je suis tout de même vraiment désolé. Je… Oui c’est ça. Oui, oui, je te replace… je finis par dire un peu perturber par les quelques spaghettis qui glissent de ses cheveux.
J’ai vraiment causé un réel gâchis, voire même catastrophe. Comment il peut autant rigoler de la situation aussi rapidement et même vouloir partager un repas avec moi ? Il est vraiment trop gentil. Je m’entendais à me faire engueuler, pas inviter à manger ensemble !
- Je… Oui, oui. Je vais t’attendre.
Quoi dire de plus ? J’en ai aucune idée. Alors je ne fais que prendre place à la table que Gabriel vient de déserter. Puis, j’eu une illumination ! J’ai un t-shirt propre dans ma voiture ! Bon, c’est un t-shirt de sport puisque techniquement, je devais aller à la salle aujourd’hui, mais au de la journée que j’ai passée, je vais plutôt rentrer chez moi. Donc, je me dépêche de faire l’aller-retour jusqu’à ma voiture pour y récupérer le morceau de vêtement et je reviens à la table comme mon collègue revient de la salle de bain des hommes. D’un petit sourire crispé je lui tend le vêtement.
- Ce n’est pas une chemise, juste un t-shirt bien simple, mais j’ai ça à te proposer pour que tu ne restes pas avec une chemise tâchée et humide le reste de la journée. Surtout si tu as encore des cours plus tard.
Je m’en veux tellement que je suis prêt à tout pour tenter de rattraper au mieux la situation. Même si Gabriel ne semble aucunement fâché par la situation, moi je me sens vraiment mal.
HJ:
Je suis vraiment désolée du délai ! Je ne devrais plus prendre autant de temps pour répondre à l'avenir !
« Gabriel Dixon »
•• habitant(e) de manhattan
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•• Date d'arrivée : 17/03/2024
•• Messages : 272
•• Dollars : 586
•• Faceclaim : Aaron Taylor-Johnson
•• Les crédits : soletear
•• Âge : 37
•• Nationalité(s) : Américaine
•• Statut marital : Célibataire
•• Orientation sexuelle : Hétérosexuel
•• Métier / études : Artiste peintre et enseignant à Columbia (dessin et peinture)
Le petit plus Triggers: S/O Warnings: S/O Pronoms IRL: Elle Pseudo: Fanaud Pseudo discord: Fanaud Multicomptes: Gordon , Manuela, Thanos et Joseph Habitude rp: Il, autant de mots que nécessaire, peut varier, généralement 1X/semaine Couleur rp: Disponibilité rp: 0/5
À quoi bon me scandaliser après ce qui venait de se produire ? Le mal était déjà fait. Certes, le client aurait pu être un peu moins distrait, et le serveur, plus agile. Quant à la sauce… eh bien, elle aurait pu être un peu moins brûlante. Heureusement, j’avais réagi suffisamment vite pour éviter toute séquelle physique, bien que mon amour-propre en ait pris un sacré coup. Les clients autour de moi n’avaient pas raté une miette de la scène, alertés par mes cris.
Cependant, il y avait une certaine ironie à constater que ce qui aurait pu être un moment de gêne absolue s’avérait finalement moins embarrassant que prévu. Après tout, le maladroit inconnu n'en était pas vraiment un. Il s’agissait d’un collègue dont j’avais vaguement entendu parler, et il se pourrait bien que nous ayons plus en commun que ce qu'on voulait bien laisser paraître. Mais ce n’était pas le genre de choses dont on parle autour d’un café ou dans un couloir de l’université.
Je voyais bien qu’il était sincèrement désolé et décontenancé par ma réaction. Je me contentai donc de sourire avant de m’éclipser pour me changer. Le nettoyage sommaire de ma chemise ayant donné des résultats plus que décevants, je fus soulagé d’apprendre que Daniel avait un t-shirt à me prêter. Je n’aurais vraiment pas apprécié rester là, frigorifié sous une chemise humide, imprégnée de l’odeur persistante de sauce tomate. Je le remerciai chaleureusement avant de retourner à la salle de bain pour me changer rapidement. De retour à ses côtés, je pris place à la table, désormais nettoyée.
Ah, voilà qui est beaucoup mieux...! Encore une fois, merci pour le t-shirt. Même si je n'avais pas d'autres cours aujourd'hui, c'est quand même bien plus agréable ainsi. Je te le remettrai sans faute cette semaine à l'université. On devrait bien trouver un moment pour se croiser.
Je remarquai que mon calepin traînait toujours sur la table, ouvert sur le croquis que j’avais commencé. La sauce tomate avait gâché le rendu, mais puisque ça me servira de base pour une toile, ce n’est pas si catastrophique. Je le laissai ouvert pour qu’il sèche un peu avant de le ranger.
Alors, est-ce que tu as déjà commandé en mon absence ? Moi, je pense encore prendre le spécial du jour... Je sais, je joue avec le feu ! Je rigolai légèrement, tentant de détendre l’atmosphère.
Et sinon, tout va pour le mieux à l'université ? Les étudiants ne te font pas trop la vie dure ?
Nous ne nous connaissions pas beaucoup, mais il fallait bien commencer quelque part, histoire de briser la glace. Après tout, cette rencontre nous réservait peut-être encore des surprises...