•• Métier / études : Thanatopracteur, celui qui donne une apparence vivante aux corps sans vie.
•• Quartier d'habitation : Brooklyn pour le moment.
•• More about you :
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liste des rps Vermissage / RP Lancelot / RP Loterie RP / RP Grey / RP Joshua / RP Everleigh / RP
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Le petit plus Triggers: cruauté envers les animaux/enfants Warnings: mort, sang, sexe, Pronoms IRL: elle Pseudo: Hypnoze Pseudo discord: _hypnoze Multicomptes: Azraël, Ulysse, Rhys, Eden, Louve, Elio, Lylla, Charlys, London, Cassian, Cole, Lorenzo Habitude rp: Tu, entre 300 et 1000 mots, rythme variable. Couleur rp: #0033cc Disponibilité rp: 3/3
Octave Lockser
Dim 19 Mai - 21:15
˜ ˜ ˜ { “ - Je préfère être un amant insensé, qu’un homme sage sans passions ? ” feat Anonyme } crédit/ bricole gif : hypnoze feat. @Lancelot Z. Walsh
TW : allusion mort enfant
Un soupire traversa tes lèvres. Même si tu adorais ton métier, il y avait certains aspects qui t’affectais particulièrement. Encore plus depuis que tu étais devenu papa. Ton regard se posa sur le petit cercueil blanc qui reposait sur la table. Même si la mort était ton quotidien et même ta fidèle allié, tu gardais une réalité. Si embaumé des corps d’adulte voir de personnes âgés étaient la logique des choses et naturels. Ça l’était moins quand c’était des adolescents ou des enfants. Voir pire des bébés. Malgré ta réticence, tu faisais toujours honneur au mort. Pour lui rendre un dernier hommage. A garder ton sang froid jusqu’à que la tâche soit fini. C’est comme ça que tu finissais ta journée. Même si tu avais des employés, tu ne voulais pas leur faire cette tâche la. Tu prenais la responsabilité. Et ça quelque soit que ça comprimait ton esprit. Tes yeux se fermèrent un moment alors que tu claquas la porte de ta pompe funèbre la plongeant dans le noir complet. Non. Tu n’étais jamais indifférent aux corps que tu devais faire honneur. Mais encore plus-la. Tu avais besoin de te changer l’esprit. Car tu savais que si tu ne te faisais rien, tu allais en rêver. Et que ça allait te bouffer. Car tu allais obligatoirement mettre le visage de ton propre fils dessus. Tu devais reprendre cette indifférence. Pour ton bien. Tu secouas la tête et attrapa ton trousseau de clé pour fermer ton commerce. L’Eden. C’était comme ça que tu avais appelé ta chambre funéraire. Pour leur permettre en quelque sorte le paradis qu’ils méritaient tant. Tu devais te changer les idées. Et tu savais très bien comment. Tu farfouillas dans ta poche pour extirper ton téléphone pendant que tu longeais le chemin jusqu’à ta voiture. Tes doigts trouvèrent rapidement le dentinaire que tu voulais et tu pianotas quelques mots. C’était devenu simple. Régulier. Chacun avait des choses à oublier. Ou quelqu’un à oublier. Et c’était devenu naturel. Sans attaches. Sans sentiment. Jute du plaisir à l’état pur. Juste deux âmes déchus qui voulaient juste être sauvé pour une nuit. Sa réponse te fit sourire et tu grimpas à bord de ton véhicule et fila dans ton quartier. Brooklyn. La où Lancelot habitait également. Tu arrivas plutôt rapidement dans la ruelle où il habitait. Et après t’être garé, tu montas les marches une par une jusqu’à appuyer sur son interphone. La sonnerie ne tarda pas et tu pénétras à l’intérieur de l’immeuble. L’ascension jusqu’à son appartement te sembla long mais tu atteignais ton but. Sa porte d’entrée te fit face et tu frappas quelques coups dessus. Et patienta.
« Lancelot Z. Walsh »
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•• Date d'arrivée : 16/02/2024
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•• Nationalité(s) : le sang de tes veines a, depuis longtemps, été remplacé par du thé.
Et merde. C'était qu'une putain de journée de merde. T'avais beau frotter tes mains dans l'évier de ta cuisine, tu ne parvenais pas à effacer les traces de sang incrustées sous tes ongles et dans les plaies qui parcouraient ton torse, tes avants-bras. Ta poudre magique tapissait encore l'intérieur de tes narines. Tu ne ressemblais qu'à l'un de ces pauvres camés qui dormaient dans les cellules que tu t'étais efforcé de remplir toute cette putain d'enfoiré de journée. Tout ça pourquoi ? « Fais chier ! » tu éclatas, les bras de part et d'autre de la cuve. Ton front était parsemé de sueur. Ta respiration était haletante. Ton coeur faisait tambouriner son rythme contre tes tentes humides. T'avais vu ce carambolage. Tu savais que ce mec allait se tirer en voyant les gyrophares de ta voiture de patrouille. Tu savais que ce serait dangereux de le poursuivre dans les rues de Brooklyn. Et pourtant. T'as pas hésité une seule seconde. T'entendais encore le crissement des pneus sur le bitume et le ronronnement dur du moteur mis à rude épreuve. Tout comme tes nerfs. Tu sentais l'odeur du gasoil répandu sur la chaussée, l'odeur de la fumée, de la taule froissée. Celle du sang. De la chair brûlée. Celle de la mort. Tu voyais le visage des victimes. Cette mère et cette fille. Percutées. Un relent te souleva l'estomac. T'avais besoin de quelque chose de plus fort. Beaucoup plus fort. Quelque chose qui te ferait oublier cette scène quelques secondes, quelques minutes. Avec un peu de chance, quelques heures. Tu sortis de ta cuisine pour foncer dans ta chambre, soulevas une latte de ton plancher et en extirpas une vieille lunchbox cabossée. Un bien précieux. Son contenu l'était d'autant plus. T'attrapas l'élastique et le noua autour de ton biceps. A l'aide de tes dents, déchiras l'emballage stérile de la seringue, perças l'opercule du petit flacon avec l'aiguille et te la plantas dans le bras. Une vague de chaleur te parcourut, douce. Comme un éclat venu du paradis. Une parenthèse de bonheur. Le vide au fond de toi était enfin rempli. Oui. Tu te sentais. Plein. Entier. Puis, un sms. Un sourire satisfait. Putain que t'avais besoin de ça. De lui. De ce qu'il t'apportait quotidiennement. Tu tiras ta vieille carcasse jusqu'à la cabine de douche, te dévêtis lentement et restas là jusqu'à l'arrivée de ta nouvelle récompense. Tu ne pris même pas la peine de t'entourer d'une serviette, de te sécher. Tu fonças, inondant le plancher de ton appartement d'innombrables flaques d'eau et ouvris la porte, nu comme un ver. « T'as pris ton temps... »
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« Octave Lockser »
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•• Métier / études : Thanatopracteur, celui qui donne une apparence vivante aux corps sans vie.
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Le petit plus Triggers: cruauté envers les animaux/enfants Warnings: mort, sang, sexe, Pronoms IRL: elle Pseudo: Hypnoze Pseudo discord: _hypnoze Multicomptes: Azraël, Ulysse, Rhys, Eden, Louve, Elio, Lylla, Charlys, London, Cassian, Cole, Lorenzo Habitude rp: Tu, entre 300 et 1000 mots, rythme variable. Couleur rp: #0033cc Disponibilité rp: 3/3
Octave Lockser
Mer 12 Juin - 14:29
˜ ˜ ˜ { “ - Je préfère être un amant insensé, qu’un homme sage sans passions ? ” feat Anonyme } crédit/ bricole gif : hypnoze feat. @Lancelot Z. Walsh
Besoin. Tu avais besoin de lui. De son corps. De sa chaleur contre ton corps. De ses bras. Pour te faire perdre la tête. Pour te faire oublier ce que tu avais vu. Silencieusement, tu avais marché jusqu’à sa porte d’entrée. Dans l’espoir qu’il t’ouvre vite. Les images défilèrent dans ton esprit. Et si tu n’avais pas été autant habitué, tu aurais pu vomir tes trippes. Mais tu résistais. Cette envie disparue quand la porte d’entrée de Lancelot s’ouvrait devant la magnifique vision de l’hôte en personne. Nu comme son premier jour dans sa vie. Nu comme le meilleur costume que tu aimais qu’il porte. Il était à damné un saint. Et se fichait totalement de sa nudité ou si d’autres personnes pourraient le voir dans cette situation. Il savait qu’il était beau. Et toi, tu l’avais juste pour toi. Pour cette nuit. Un sourire s’étira sur tes lèvres quand il insinuait que tu avais pris ton temps. « Je t’ai manqué ? » Tu lui glissais en faisant un pas en avant pour camoufler sa nudité par ton corps qui était maintenant trop habillé sur le coup. Et que tu n’avais qu’une hâte, être a égalité avec Lancelot sur ce point. Tu n’avais pas besoin de sa permission pour entrer. Tu t’y glissas à l’intérieur quand tu collais ton corps contre le sien et d’un mouvement du pied referma la porte derrière toi. Son corps collait le mur de l’entrée. Et toi tu le collais lui. Tu levas une main pour venir la glisser sur sa joue et la remonter jusqu’à ses cheveux. Il était diablement sexy. Un ange déchu qui lui aussi voulait oublier les horreurs de la vie. Si toi tu côtoyais la mort tous les jours par ton métier de thanatopracteur, Lancelot aussi la côtoyais par son métier de policier. Et d’autres horreurs que tu ne pouvais l’imaginer. Deux âmes souillées. Fragilisés. Qui voulait juste se donner du bon temps sans sentiment. C’était ça qui marchait entre vous. Vous savez ce que vous cherchez et attendez de l’autre. Et ça vous allait parfaitement. Tu penchas la tête sur le devant et glissa tes lèvres sur les siennes. Avide de sens. Avide de toucher. Tu voulais oublier ce que tu avais vu. Oublier que ça t’avais fais pensé à ton fils en voyant ce mini cercueil. Oublier que la vie pouvait être comme ça. Cruelle. Tenace. Elle n’était pas un long fleuve tranquille comme certains le disaient si bien. Non. La vie était comme la mer. Simple mais agitée. Douce mais cruelle. Enivrante comme les lèvres de Lancelot sur les tiennes. Elles se séparèrent non sans un gémissement de frustration. « Tu as pris de l’avance sur moi. » Précisas-tu en faisant glisser tes mains sur la musculature parfaite de Lancelot. Jouant avec ses biceps. Caressant ce torse. Descendant plus bas. « J’ai envie que tu me fasses perdre la tête. D’oublier tout ça. » La vie en générale. Juste qu’il t’envoie dans un putain d’orgasme comme il sait très bien le faire. « Prend moi. » Cache. Tu allais droit au but. Le tact et toi faisait deux. Mais pour ça il fallait déjà que ton corps se dévêtît. Tes lèvres rejoignirent à nouveau celle de Lancelot. Comme si elles étaient enfin à sa place. Tu étais comme un camé en manque de sa drogue finalement. Et tu aimais ça et tu n'étais pas prêt à te désintoxiqué de lui.
« Lancelot Z. Walsh »
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•• Nationalité(s) : le sang de tes veines a, depuis longtemps, été remplacé par du thé.
Dans ta peau, l’aiguille avait laissé des cicatrices caractéristiques de ses multiples passages dans ta chair. De minuscules trous entre les vaisseaux sanguins. Des traces violacées s’harmonisant parfaitement avec la pâleur de ta peau. Avec lui, tu ne te fatiguais pas à les cacher. Parce qu’il savait. Il savait que ta vie entière était basée sur des mensonges, s’empilant les uns sur les autres. T’aurais pu être quelqu’un d’autre, quelqu’un de bien. Mais tu avais laissé passé le wagon, et maintenant, il était trop tard pour lui courir après. Tu as choisi la facilité. Celle d’arrêter de penser par toi-même. Celle d’arrêter de penser, tout court. Parce que lui, il s’en fichait. Il se fichait de voir les flacons jonchées le comptoir de ta cuisine, les seringues se balader sur ta table basse, ou bien les compresses de sang éparpillés sur l’accoudoir du sofa. Ce qu’Octave désirait, c’était la seule chose que tu étais capable d’offrir ; ton corps. Sa première question ne fit qu’agrandir ton sourire. T’avait-il manqué ? Le camé que t’es ressent bien des manques, oui. Son sexe était l’une de ces drogues dont tu ne pouvais pas te passer. Il était ton pêché mignon, ce plaisir vulgaire, ce désir innommable, inavouable. « Non. » mens-tu. La porte claqua alors que l’homme te poussa à l’intérieur de ton appartement en bordel. Ce serait un sujet de conversation pour demain. Pour l’heure, vos intérêts étaient tout autre. Sa bouche se plaqua sur la tienne et tu t’empressas de lui rendre son ardeur. Ton corps et tes sens s’engourdissaient petit à petit grâce à ta came, mais ils réagissaient parfaitement à la présence de l’autre homme. Il était parfaitement indéniable qu’il te faisait de l’effet. Le nier, ne serait qu’un autre mensonge. Il suffisait de baisser les yeux vers tes cuisses pour constater qu’en réalité, tu n’attendais qu’une chose de lui; et il attendait la même chose de toi. En suivant les règles de votre relation tordue et dysfonctionnelle, il n’était pas difficile de se rendre compte que vous aviez tous les deux passé une journée de merde. Ses caresses te firent frémir. « Tu ne passes pas par quatre chemins… » marmonnas-tu entre deux baisers torrides, moqueur. Tes doigts glissèrent le long de son cou pour se diriger vers le col de sa chemise que tu empoignas pour l’attirer davantage contre toi. Les deux premiers boutons sautèrent sans le moindre effort. Les cinq autres ne tardèrent pas à suivre non plus. Le morceau de tissus glissa sur le sol, tandis que les pieds d’Octave le quittèrent. Tes mains sur ses fesses, tu le soulevas avec aisance et le portas jusqu’à la commode de l’entrée sur laquelle tu l’installas. Tes doigts se saisirent ensuite de la boucle de sa ceinture et la détachas. Un autre vêtement ne tarda pas à rejoindre le parquet de ton appartement. « Tout de suite ? » Sans préparation. Ce ne serait pas la première fois. Certains soirs, vous ne trouvez même pas le temps de vous défaire de vos fringues. Tes pupilles noires s’ancrèrent dans les siennes, le souffle coupé. Le désir brûlant que tu ressentais ne cessait de faire des allers-retours entre tes lèvres, ton coeur et ton sexe tendu. Et cette vague de chaleur qui émanait de lui… Bordel. Tu brulais de désir pour lui. « Dis-moi ce que tu veux, Lockser. »
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