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{  “ -  Celui qui se présente en sauveur pourrait bien être crucifié. ”
feat J. Collins }
crédit/ bricole gif : hypnoze feat. @Ava Sterling

Tu ne savais même pas pourquoi tu trainais seul chez toi aujourd’hui. Tu avais bien reçu des invitations à des soirées. Et à même à des parties de poker clandestines. Mais tu avais refusée les deux invitations. Aujourd’hui, tu ne souhaitais qu’une seule chose. Rester seul. Etre tranquille. Avoir la paix tout simplement. Ton corps le demandait. Rien d’étonnant vu que tu te battais régulièrement ou enchainait avec le hockey sur glace, il n’avait pas le temps de cicatricer. Alors par moment comme aujourd’hui, tu prenais du temps. Pour mieux repartir ensuite. Car c’était comme devenue une drogue. Les coups faisaient parties de toi depuis que tu es gamin et tu savais que tu finirais mort comme ça. Tu l’avais choisi. Et tu aurais été stupide de changer de voix. Un verre à la main, tu regardais le temps qu’il faisait dehors. Une pluie s’était abattue sur New York. Tu avais bien vu des affiches publicitaires concernant les évènements proposés par la ville pour Halloween mais tu t’en fichais. Non que tu n’aimes pas la ville juste que tu ne trouvais pas d’intérêt à te déguiser pour chercher des bonbons. Tu ne l’avais jamais fait et ce n’était pas demain la veille que tu le ferais. Tu étais bien trop vieux pour ce genre de connerie. Tu portas le verre à la commissure de tes lèvres. Tu aimais ce genre de temps. Si tu devais être un temps, tu serais sans doute celui-ci. Ravageur. Puissant. Imprévisible. Incontrôlable. Un temps où les gens préféraient rester chez eux plutôt que de faire chier les gens. C’était ce que tu voulais. Même si tu n’habitais pas seul dans ton loft, tu avais la chance qu’Isana travaille à l’hôpital pour ne pas la voir de la soirée. Tu ne comprenais même pas pourquoi tu lui avais proposé ce genre d’accord. Habiter chez toi gratuitement contre ses soins privés et son silence. En ce moment tu faisais des choses que tu ne contrôlais pas. Tu t’étais une fois battu pour sauver l’honneur d’une prostitué et tu la payais pour faire la conversation. Pour éviter qu’elle tombe sur des connards. Ouai. Tu changeais. Et tu n’aimais pas ça. Tu savais que ça avait commencé depuis que tu avais revu ton ex dans un club de strip-tease. Et ça te faisait chier. Tu étais un putain de con d’égoïste. Les femmes pour toi ne représentaient qu’une chose : un aller simple au septième ciel. Et c’est tout. Tu te passais une main dans ta chevelure. Ouai. Tu devais reprendre soin de toi. Et être seul allait te faire du bien. C’était sans compter ton téléphone qui sonnait. Un nouveau message que tu lue après avoir attrapé ton téléphone d’une main. Encore une soirée où tu étais invité. Ils avaient même mis en valeur qu’ils allaient payer des prostituées pour la soirée. Tu savais que ton connard de coéquipier y sera. Il adorait ça. Tu serras les dents et envoya un message à Ava. Tu préférais la savoir chez toi plutôt que la. Ton prix était toujours supérieur à ceux que pouvait proposer tes potes. Tu ne tardas pas à recevoir une réponse positive à ton message et tu avalas ton verre d’un cul sec en réponse. Oui. Tu changeais Kaz. Et tu n’aimais pas ça. Sérieusement. Ça te faisait chier. Cruellement. Tu devais te reprendre. C’est avec cette pensée en tête que tu entendis des heures plus tard frappé à ta porte. Ton rendez-vous était arrivé. Tu rejoignis la porte rapidement que tu ouvris à la volée. Tu devais te reprendre. Et t’allait agir comme un gros con. « Tu en as mis du temps. Je pensais qu’avec le fric que je te donnais ça t’aurait permis de t’acheter une montre ou d’être plus ponctuelle. » Comme maintenant. Ouai. Elle te connaissait pour être un con. Mais pas un gros con. Tu la jugeais d’un regard de haut en bas et afficha un sourire arrogant. Elle était belle. Et toi en manque de sexe. Elle ferait l’affaire même si tu n’aimais pas payer pour coucher. Tu allais faire une exception. Pour te reprendre en main. Puis tu t’effaças de la porte et parti dans ton salon. « Je te laisse refermer derrière toi. Si ce n’est pas trop te demander bien sur. » Ouai. Tu devais te reprendre. Ce genre d’amabilité et sentiments positifs ce n’était clairement pas pour toi. Comme celui de payer pour faire la conversation. Mais tu l’avais fait. Plus d’une fois. Et tu es décidé à arrêter de faire des conneries.

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{  “ -  Celui qui se présente en sauveur pourrait bien être crucifié. ”
feat J. Collins }
crédit/ bricole gif : hypnoze feat. @Ava Sterling

Tu devais changer. Te reprendre en main. Retrouver ton âme de connard. Et non faire preuve de sympathie. C’était ce que tu te répétais depuis que tu étais parti lui ouvrir la porte. L’être humain était vicieux. Fade. Sans intérêt. A part écarter les cuisses des femmes, frapper les gueules d’hommes et gagner du fric légalement et illégalement, c’étaient les seules choses positives que tu trouvais dans la vie. Tu n’avais jamais eu une vie facile Kaz. Rien d’étonnant qu’on te baptisait Kaz le sanguinaire quand tu enfilais ton équipement d’hockey. La bagarre tu aimais ça. Tu vivais clairement pour ça. Rien d’étonnant vu que depuis ton enfance, tu connaissais que ça. Des coups et encore des coups. Et personne qui te venait en aide. Oui l’être humain était fade. Egoïste. Et tu leur donnais la même chose. Ils ne méritaient que ça. De ne pas être sauver car toi personne ne t’avait sauvé. Tu t’étais démerdé tout seul. Comme un grand. Si tu avais pu le faire les autres pourraient y arriver eux aussi. Alors pourquoi tu l’avais sauvé elle ? Cette prostituée. Cette femme que tu avais sauvé contre les mains trop baladeuses d’un de tes coéquipiers. Et que tu avais encore sauvé en la payant ce soir la alors que tu savais que tes coéquipiers cherchaient encore à lui mettre la main dessus. Oui. Pourquoi tu faisais tout ça Kaz ? Ce n’était pas ton problème s’il lui arrivait quelque chose. Ava était assez grande pour se sortir de situations comme celle-ci. Pourtant, tu l’avais sauvé. Comme un preux chevalier servant. Et ça ne te ressemblait vraiment pas tout ça putain. Tu marquas un temps d’arrêt quand la porte se referma sur Ava. Oui. Ça ne te ressemblait pas. De la payer juste pour de la discussion. Alors que tu étais le genre de type à vouloir qu’une chose des femmes : écarter leurs cuisses pour s’y glisser dedans et les jeter ensuite une fois l’orgasme attend. Mais elle tu ne l’avait pas touché. Pourquoi ? Car les occasions ne manquaient pas. Tu aurais pu la baiser tu ne sais combien de fois mais tu n’avais rien fait. Tu la payais à faire de la conversation comme si c’était une putain de psychologue. Ouai tu craignais à max Kaz. Mais tu allais changer ça. Tu devais te reprendre. Maintenant. Et elle semblait comprendre tes attentions vu que tu sentis ses doigts parcoururent ton torse avant qu’elle ne fasse glisser sa main pour descendre sa propre fermeture éclair. Ton regard ne loupa pas d’une miette de sa jupe qui tomba par terre. La laissant avec pour seul et unique vêtement du bas sa petite culotte noire en dentelle. Ava était belle. Séduisante. Excitante. Et toi tu ne l’avais pas touché. Il te manquait vraiment un grain. Putain. Tu devais te reprendre. Cette pensée s’installa dans ton esprit alors qu’un sourire séducteur glissa sur tes lèvres. Carnassier. « De la meilleure des façons qui soit. » Tu passas une main derrière sa nuque pour lui tirer les cheveux en arrière et approcha ton corps contre le sien. Tes lèvres se nichèrent dans son cou. Tu n’avais pas le droit de l’embrasser. Et ça t’allait très bien. Les baiser c’était pour de l’amour. Et toi tu n’apportais aucun amour à l’être humain. Tu glissas ton autre main en bas du creux de ses reins et d’un simple réflexe, tu la portas. Elle n’était pas lourde. Et tu arrivas facilement à la porter jusqu’à la poser sur ton ilot centrale qui régnait en maitre dans ta cuisine américaine. Un son de vibreur glissa dans ton appartement et tu poussas un soupire. Tu savais que ce n’était pas le tien. Tu avais horreur du mode vibreur de ton téléphone. Ca sous entendait que c’était celui d’Ava. « Tu es très demandé à ce que je vois. » Ce n’était pas de la jalousie. Juste un fait. Et tu savais qui la cherchait. Le savoir te faisait grincer des dents et tu la mordais au cou sans le vouloir en jetant au loin ta chemise. Pour être à l’égalité. « C’est encore eux ? » Ouai tu étais maso. La colère te rendait humain. C’était la seule chose que tu aimais bien. Cette adrénaline. Ce sentiment d’être puissant. Et tu avais besoin de sentir ça pour être de nouveau toi-même. Et non vouloir la laisser à moitié à poil sur ton ilot pour aller prendre un verre. Car ça tu en étais aussi capable.

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Tu devais te reprendre. En main. Cassian. Tu devais arrêter de jouer le gentil type qui avait sauvé une prostituée de ses collègues machos. Tu n’étais pas Richard Gere dans Pretty Woman. Toi tu n’avais rien d’un bon samaritain. T’étais même plutôt connu comme un connard. Et pas un petit mais le roi. De nombreuses personnes pouvaient te le dire. Que tu n’étais pas fréquentable quand il était question de relation. La seule relation que tu donnais c’était celle allongés sur un lit avec une fille qui avait les cuisses écartés. C’était la seule chose que tu trouvais beau chez elle. Leur accès à l’orgasme. Rien de plus. Tu ne pouvais donner que ça. Du plaisir. De la douleur. Tu étais bon qu’à ça. Prendre. Tirer ton coup. Briser des illusions. Briser des cœurs. Et tu aimais ça. Briser les gens. Pour n’être pas le seul brisé. Car ouai. Tu étais un putain d’égoïste. Toi tu étais brisé depuis que tu étais venu au monde. Et c’était normal que les gens le soient aussi. Et d’une certaine façon, briser les gens te faisaient sentir vivant. Alors pourquoi avec elle, tu ne voulais pas être toi-même ? Ava. Alors qu’elle n’attendait que ça. Que tu la baises. Que tu prennes ton pied. Que tu l’envoie au septième ciel. Que tu lui donnais pour l’argent que tu avais déboursé pour elle. Tu n’avais aucun scrupule. Coucher pour coucher. Tirer son coup et éjecter la personne une fois le septième ciel attend. Mais jamais encore tu avais couché en payant. C’était sans doute le seul principe que tu avais en tête. Même si tu prenais les femmes littéralement pour des objets, tu n’aimais pas qu’il y a un côté monétaire dans le rapport. C’était sans doute ça qui t’avait bloqué. La fois où tu l’avais ramené chez toi pour qu’elle ne se fasse pas souiller par des cons. Et tu t’étais juré de ne pas recommencer. Que si elle devait revenir ici c’était juste pour une chose : l’allonger sur ton lit pour la baiser. Et tu devais te mettre ça en tête. Une bonne fois pour toute. Oublier la liasse de billets qui trainaient chez toi et qui lui était destiné. Et penser à qu’une chose. L’envoyer au septième ciel. Surtout qu’elle n’était pas vilaine Ava. Elle était même carrément bandante. Et elle savait quoi faire pour te faire bander. Elle était désirable et elle le savait pertinemment. Et elle aussi voulait qu’une chose. Que tu la baises. Alors tu devais lui donner ce qu’elle désirait. Tu avais bien commencé jusqu’à le son strident de son téléphone te fasse sortir de tes actions. Non que ça te gênais d’habitude mais la c’était différent. Car tu savais qui était à l’autre bout du fil. Tu savais qui l’appelait. Et en quoi se servait ce téléphone la. A trouver des clients. Echanger son corps contre des billets verts. Et te voila reparti dedans. Tu n’étais pas sérieux ? Même elle te le disait. Que c’était toi qu’elle voulait. Qu’elle lui montra même en enlevant son haut exposant sa poitrine généreuse devant ta gueule. Elle te nargua même en te disant ton surnom que te donnait la presse. Ce qui te fit mordre son cou une énième fois. « Tu ne le regrettera pas. » Personne ne regrettait l’acte en lui-même. Il regrettait juste l’action après d’être brisé. Tu tiras une nouvelle fois dans ta belle chevelure brune. L’exposant à ta vue. « Tu vas prendre ton pied comme jamais et crier mon nom car c’est ce que tu veux. Que je t’emmène dans un putain d’orgasme. » Tes paroles étaient sèches. Cru. Réelle. Des faits que tu exposais. « Et je vais te le donner. Putain oui, je vais te le donner. Et ça me fera peut-être oublier que j’ai payé pour te le donner. » Tu espérais vraiment oublier ce détail dans ta tête une fois l’excitation au maximum. Car tu étais convaincu une chose. S’il n’y avait pas eu cette histoire d’argent, ça ferait longtemps qu’elle crierait sous tes vas et viens. Et qu’elle en redemanderait. Encore et encore. Pas comme la où elle gémissait juste parce que tu avais capturé ses seins avec ta bouche et que tu malaxais ses fesses qui était posé sur le rebord de ton ilot centrale. A certainement se demander si ta réputation n’était que du pipo. Tu devais prendre les choses en mains. Une de tes mains stoppa ses caresses sur ses fesses pour venir se positionner sur le devant. Oui. Tu devais oublier cette histoire d’argent. Pour gagner un orgasme. Car ça n’avait pas de prix non ? Joindre le septième ciel ? C’était gratuit et non avait une somme d’argent comme la. Tes dents serrèrent les mamelons à cette pensée. Plaisir. Douleur. Un bon duo. Oublie cette histoire. Deviens le Kaz Sanguinaire qu’elle veut que tu sois. Tu peux le faire.

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{  “ -  Celui qui se présente en sauveur pourrait bien être crucifié. ”
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crédit/ bricole gif : hypnoze feat. @Ava Sterling

Tu ne savais clairement pas pourquoi ça te faisait chier de payer pour baiser. Tu étais pourtant le genre de mec qui s’en foutait des principes moraux. Et encore moins des sentiments. Tu prenais. Tu jetais ensuite. Si la personne souffrait, tu t’en battais royalement les couilles. Tu étais qu’un putain d’égoïste. Un connard fini. Et c’est ce qu’elle voulait. Elle voulait le connard qui l’emmène dans un putain d’orgasme. Qui l’a souilles. Et qui l’a jette ensuite. Et tu devais respecter sa demande. Surtout que ce n’était pas comme si tu n’avais pas envie. Elle était bandante. Excitante. Sauvage. Entreprenante. Et elle savait comment faire augmenter le désir dans un corps humain. Bref tout pour que tu la placardes contre un mur pour la baiser. Mais pour le moment, tu n’y arrivais pas. A cause de cette histoire d’argent. Jamais tu n’avais baisé une nana contre de l’argent. C’était un seul principe qui te tenait à cœur. Tu baisais oui avec le consentement de la personne. Sans billets verts. Et tu jetais la personne après que tu avais jouis en elle. Mais elle forcément c’était différente. Tu la payais. Souvent. Juste pour de la compagnie et parler. Et éviter qu’elle se salisse avec tes coéquipiers qui eux n’avaient pas de scrupule à baiser en payant quelqu’un. Pas comme toi. Jusqu’à qu’elle te le dise.