˜ ˜ ˜
{  “ - La magie du premier amour est d'ignorer qu'il puisse finir un jour.  ”
feat Benjamin Disraeli }
crédit/ bricole gif : hypnoze feat. @Ezekiel Cobbs-Ellis

Tu avais tout faux. C’est ce qu’il t’avais dis quand il t’avais encercler ton poignet pour éviter que tu t’en ailles. Ta respiration se coupa. L’espoir te tenta. Jusqu’à qu’il avoue la vérité. Qu’il t’avait bien fui. Tu fermais les yeux à cette remarque. Tu avais l’impression d’avoir reçu un coup de poignard en plein cœur face à ses paroles. Te faisant vraiment réalisé ce que tu le savais déjà. Tu avais toujours trouvé Ezekiel fascinant. Mais ce baiser t’avait littéralement bouleversé au point d’éveiller des sentiments pour lui. Non partagé pour ses paroles. Tu ne comprenais clairement pas pourquoi il t’avait arrêté. Etait-il cruel ? Ou sadique ? Non il n’était pas comme ça. Alors à quoi il joue bon sang ? Tu devais partir. Loin de lui. Mais ses nouvelles paroles te redonnèrent de l’oxygène. Fit sursauter ton cœur. Est-ce que tu avais mal compris ? Tu pivotas sur toi-même pour le regarder. Il était confus. Comme toi. Rajoutant le côté mignonnerie à cet homme que tu trouvais divan. Ce baiser signifiait quelque chose à ses yeux. C’était bien ce qu’il disait. Dans sa maladresse. Apportant de nouvelles choses. Il disait vrai. Sa sœur vous tuerait si elle l’apprenait. Mais tu oublias ce détail quand il t’avoua qu’il ne souhaitait que t’embrasser à nouveau. Ton cœur se remit à battre plus fort. L’espoir était de nouveau la. Tu pouvais voir ses joues se colorisaient et tu le trouvais encore plus craquant qu’il l’était déjà. Il voulait t’embrasser à nouveau. Toi aussi. C’était un sentiment partagé. Mais interdit. « Elle me ferait clairement la peau à moi aussi. Quand elle s’énerve elle fait vraiment peur. » Tu l’avais vu rarement énervé ta meilleure amie mais quand c’était le cas, tu étais content que ce n’était pas contre toi qu’elle s’énervait. « Mais pour toi, je prendrai le risque de perdre mes futures générations car elle sera très bien visé l’endroit si elle l’apprend. » Tes parents t’avaient demandé une fois comment tu avais imaginé ta vie plus tard. Tu n’avais pas pu répondre. Avec une femme ou un homme c’était pareil à tes yeux. Comme avoir des enfants génétiques ou adoptés c’était pareil. Tu t’approchas d’Ezekiel au point que vos corps soient proches l’un de l’autre. Tout en laissant son espace vital. De partir. S’il le souhaitait. Ou de rester. Et de t’embrasser. Tu préférais d’ailleurs cette solution. « Je prendrai ce risque car tu le mérites vraiment. » Ta meilleure amie aussi comptait énormément à tes yeux mais elle serait qu’au bout d’un moment que vos intentions étaient justes. « La balle est dans ton camps Cobbs-Ellis. » Narguant d’un clin d’œil, tu n’avais jamais été aussi courageux que maintenant. Vous étiez très proches. Seuls. Très loin de la fête au feu de camps. Si tu étais courageux. Ezekiel l’était aussi. Dans sa maladresse mais courageux. Que l’un des amis prennent les devants. Pour avoir plus. Beaucoup plus. Ton visage s’était approché du sien. Tu pouvais sentir son souffle flotté son visage au même titre que du tien. Mais tu attendais. Lui laissant la possibilité de combler cet espace ou de te mettre un vent monumental. Sacrifiant ton cœur au passage.