Hey Brother.
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(Tenue). James était vivant. C’était la bonne nouvelle de ce dimanche alors qu’il reçoit le premier SMS de son ami. Son silence radio l’inquiétait. Il avait disparu du jour au lendemain sans laisser de traces. Il n’avait même pas pris la peine de lire ses SMS sur Whatapp. Si son égo c’était senti blessé, il tâchait de ne pas s’en formaliser. Disons qu’il aurait bien en avoir plus tôt, car il était prêt à embaucher un détective privé pour retrouver la trace de son meilleur ami, juste pour s’assurer qu’il allait bien. Il pouvait être où il souhaitait, mais il voulait juste être certain qu’il était en un seul morceau. Forcément en avoir que maintenant l’irrite. Son côté protecteur prend le dessus et il devient un peu autoritaire dans les réponses qu’il lui donne. C’est juste que ça le sidère de savoir qu’il est à New York depuis il ne sait combien de temps et qu’il n’a pas prit la peine de venir taper à sa porte parce qu’il craignait de profiter. Profiter de quoi ? James était comme un frère. Bien sûr, qu’il a toute sa place dans son penthouse. D’ailleurs, il ne lui laisse pas vraiment le choix lorsqu’il acte qu’il reviendra avec lui. Faisant de son mieux pour reprendre le fil du dossier qu’il était en train de traiter pour le Palace, Nicholas glisse une cigarette entre ses lèvres pour l’embraser. Il réalise les quelques appels qu’il doit passer pour ressourdre les problématiques qui lui ont été transmises. Lorsque c’est fait, il peut enfin fermer le clapet de son ordinateur portable pour se lever. Il écrase son mégot dans le cendrier situé à côté alors qu’il se redresse pour rejoindre sa chambre et notamment sa salle de bain. Il profite du bienfait du jet d’eau sur son épiderme pour détendre ses muscles et les réveiller, car il avait encore les idées ombragées. Après avoir essuyé son épiderme avec une serviette et frictionner ses cheveux pour les sécher le plus rapidement possible, il la tronque par un pantalon à pince, un T-shirt, une chemise blanche et des sneakers. Une tenue basique, mais parfaite pour un dimanche. Il envoie un SMS à sa bande d’amis pour les informer qu’il aura peut-être du retard. Sans doute même qu’il sera absent. Il ignore s’il pourra les retrouver avant qu’il quitte l’hôtel de James pour le ramener chez lui pour qu’il prenne ses marques. C’est certain qu’il va prendre cher quand il va les retrouver ce soir pour un verre. Merci Azraël pour ces règles auxquelles il se plie de bonnes grâces, sauf quand ce n’est pas possible. Un sourire amusé ourle ses lippes alors qu’après avoir coiffé rapidement sa tignasse, il attrape ses clés et son porte feuille qu’il glisse dans la poche de son pantalon. Il récupère également son casque de moto. Il devra prendre un taxi sans doute s’il a trop d’affaires sur lui, mais c’est qu’un détail pour eux. En conséquence, il retrouve son parking, sa moto qu’il chevauche et démarre après avoir glissé ses lunettes de soleil et son casque sur son visage. Il lui faut une vingtaine de minutes pour rejoindre l’adresse indiquée. Il stationne sa moto, là où il peut et après avoir sécurisée, il retourne vers l’hôtel dans lequel il s’immisce. Un hôtel classique, bien loin de ceux qu’ils ont l’habitude de côtoyer, mais cela ne l’indispose pas du tout. Cela lui arrive même parfois de dormir dans des motels parfois lorsqu’il est avec des amis moins fortunés que lui. Il salut obligeamment la personne à l’accueil alors qu’il s’immisce dans les couloirs à la recherche de l’ascenseur et de l’étage qui l’intéresse. Une fois devant la porte indiquée par message, il laisse son poing cogner contre le bois de la porte qui finit par s’ouvrir sur la silhouette de son ami.

« Je t’ai connu avec une meilleure mine, mon ami. Tu étais passé où ? » Il le questionne alors qu’il pénètre dans la pièce de sa démarche lente et assurée.

« Ne t’inquiète pas. Je ne vois pas d'inconvénient au fait que tu sois parti en plein milieu d’un mariage qui n’avait pas de sens. Cela me rassure même. C’est juste mon égo qui a prit un coup. J’aurai bien aimé être dans la confidence et que tu me donnes des nouvelles plus tôt. J’allais engager un détective pour retrouver ta trace juste pour être certain que tu étais encore vivant. » Il lui indique en venant retirer ses lunettes alors qu’il dépose son casque qu’il tenait à la main sur une console située dans la pièce.

« Je suis content de te voir en un seul morceau, soit dit en passant. » Il conclut alors qu’il vient s’asseoir sur le lit, son regard posé sur lui, déterminé à lever le voile sur toute cette affaire.

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(Tenue). Un sourire amusé ourle ses lippes à la remarque de son meilleur ami. Il le rassure naturellement, car il voit bien que James est sur les nerfs. Ce qui peut être normal. Ce n’est pas toujours aisé de faire face aux conséquences de ses actes et sans doute qu’un moment d’introspection semble nécessaire pour savoir si on a fait ou non le bon choix face à la décision qu’on a prise. Il y a toujours du bon et de mauvais dans les choix qu’on réalise. Nicholas le sait plus que personne. Il était au fond juste inquiet pour James et aurait juste apprécier de savoir qu’il allait bien, même s’il ne souhaitait pas qu’il vienne à sa rencontre. Il prend place sur le lit de la chambre occupée par son ami, le laisse s’exprimer sans chercher à l’arrêter ou le juger. A première vue, il vit une période très bouleversante. C’est la première fois qu’il le voit perdre ces moyens de cette manière. Cela l’inquiète tout comme cela le rend curieux. Il demeure silencieux, l’expression plus neutre. Son sourire s’est effacé pour afficher un visage plus concentré sur les confidences qui lui sont faites. Il tombe des nues lorsque ce dernier lui évoque des sentiments pour une personne. Une personne qui semble être un homme. Jusque-là, rien d’anormal, si ce n’est qu’il ignorait totalement que son ami avait un penchant pour les hommes. Comme quoi, même son meilleur ami peut avoir des secrets pour nous. Enfin, il ne peut pas lui reprocher puisqu’il n’a jamais évoqué son premier petit ami avec lui, ni son penchant pour les hommes avec du recul. Sans doute parce que leur relation est particulière et qu’évoquer cette ambiguïté aurait pu être troublante ? Tout est possible. La réalité demeure que son meilleur ami est amoureux, d’un homme, qu’il a blessé et qu’il souhaite récupérer. C’est en tout cas ce qu’il semble cerner du discours décousu de son ami. James semble complètement largué, ce qui est peu coutumier pour l’héritier Cavendish qui hausse un sourcil sous le coup de l’étonnement.

« D’accord. Donc si je résume bien : tu es tombé amoureux d’un homme, un musicien ou chanteur, qui va se retrouver être celui dont tu vas gérer sa carrière. Un homme que tu as blessé en le quittant avant d’aller le rejoindre, mais celui-ci était déjà parti et que tu n’as pas encore revu. C’est bien cela ? » Il questionne simplement alors qu’il vient prendre une inspiration en tentant de réfléchir à la situation.

« Je comprends que la situation te semble tendue, mais plus rien ne t’empêche de tenter ta chance avec cet homme. Bien sûr qu’il risque de te faire vivre un enfer pour te faire payer, car tu l’as blessé, mais si tu es sincère et que tu tiens, il finira bien par revenir vers toi, James. » Il lui pose avec une rationalité qui lui est propre.

« Après cela dépend depuis combien de temps, tu l’as quitté. Si cela fait des années, cela risque d’être compliqué, mais sinon, rien n’est perdu. Il va falloir juste que tu t’accroches. » Il conclut en venant s’emparer de son boitier de cigarettes avant de se rappeler qu’il ne peut pas fumer alors il range de nouveau ce dernier dans sa poche. Du coup, ses prunelles retrouvent celles de son ami, attendant son point de vue sur les propos qu’il vient de tenir.

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(Tenue). Nicholas fait un petit résumé de la situation dans laquelle se retrouve son ami sans qu’il ne lui ait jamais touché un mot. Il se rend compte que finalement les deux amis proches ont encore pas mal de secrets l’un pour l’autre. Sans doute parce que son histoire d’amour avec cet homme était un sujet qu’il craignait d’aborder avec lui. Il ne s’en formalise pas, puisqu’il a conscience que lui-même est resté discret à ce sujet. Du moins officiellement, car auprès de ses plus proches amis, il n’a aucun mal à aborder le fait qu’il joue sur les deux tableaux. James vient rebondir à ses premiers propos. Il se remet en position d’oreille attentive, mais il a du mal à rester stoïque face aux informations qui lui sont transmises.

« Tu as traversé les ¾ quarts du globe terrestre pour le retrouver pour rebrousser chemin devant sa porte ? » Il le questionne car il a du mal à comprendre le raisonnement de son ami à cet instant.

Du moins de manière rationnelle, cela n’a aucun sens, mais du point de vue d’un homme amoureux, il est possible que ses émotions aient altérés son jugement. Il ne voit pas d’autres explications. En tout cas, il pense qu’il n’y pas de raisons de s’alarmer. Ce que James semble dénigrer par de nouvelles confidences qui lui laisse une expression dubitative sur le visage. Il ne sait pas quoi en penser. Il préfère garder le silence dans l’immédiat et l’écouter. Par reflexe l’envie de fumer le démange. Il porte naturellement ses mains à son boitier de cigarettes avant de se rappeler que c’est normalement interdit de fumer dans un hôtel sauf sur les balcons. Or, il n’y en a pas. Mais cela n’a semble-t-il pas empêcher son ami de le faire. Du coup sa question lui arrache un rire.

« Je crois que je serai mort avant d’arrêter. C’est une véritable manie chez moi. » Il lui indique. « C’est interdit de fumer dans les chambres d’hôtel normalement, mais je vois que t’es passé à côté de l’information. » Il rebondit naturellement en lui indiquant la cigarette qui traine dans un cendrier posé sur la table de nuit.

« Concernant ta problématique. Je dirai que maintenant, il ne te reste plus qu’à affronter la situation, assumer ce que tu as dit et fait, essayer de faire amande honorable de ce que tu as pu dire ou faire et faire de ton mieux pour qu’il parvienne à te pardonner. » Il lui indique en venant se relever pour lui presser l’épaule dans un geste de soutien.

« Sinon, tu as aussi la possibilité de laisser tomber et de simplement profiter de ta vie d’homme libre. Tu connais mon aversion pour l’amour. Tu es totalement maître de ton destin maintenant et ce n’est pas en te morfondant dans une chambre d’hôtel que ça va s’arranger si tu veux mon avis » Il conclut en venant lui offrir un sourire amusé, car il ne peut s’empêcher de vouloir détendre l’atmosphère avec une boutade.

« Du coup, je te laisse impacter tes affaires pour que je te ramène chez moi. Tu seras mieux dans mon penthouse qu’ici à broyer du noir. » Il ne va pas laisser son meilleur ami dilapider son argent en nuitée d’hôtel.

Autant qu’il vienne investir son penthouse le temps qu’il arrive à trouver un pied à terre ou décider de ce qu’il veut faire de sa vie.

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(Tenue). Face à la remarque de son ami, il ne peut s’empêcher de laisser un petit rire amusé qu’il tente de masquer en mettant sa main devant sa bouche. Ses prunelles brillent de cette malice naturelle quand bien même il est possible d’y voir une once de compassion. Cela prouve que son meilleur ami est vraiment mordu de cet homme, ce qui est plutôt attendrissant, quand bien il ne garde pas un bon souvenir de ce sentiment. Seulement l’heure est grave si on suit les propos de son ami. Il est en proie à des angoisses qu’il doit tenter d’amoindrir autant que possible. Mais difficile de croire qu’il pourra y parvenir lorsqu’il entend ses confessions. En plus de s’agir d’un homme, ce dernier semble être d’un âge mur, ce qui fait une différence d’âge plutôt conséquente. Sa différence d’âge avec William à l’époque où ils étaient ensemble n’était rien en comparaison à celle de dix-huit ans de son ami et celui dont il est amoureux.

« Tu crois que je pourrais te juger pour cela ? Navré de te le dire, mais ça ne risque pas d’arriver. On fait partie de la même équipe, mon ami. » Il lui indique avec un petit sourire amusé qui vient ourler ses lèvres.

« Je comprends que la différence d’âge puisse poser un problème, mais tu n’as qu’une vie alors si tu as envie d’être près de cet homme et est prêt à accepter que tes relations soient plus distendues qu’elles le sont actuellement avec ta famille, qu’est-ce qui t’en empêche ? Tu as déjà fait un bout du chemin. Il faut juste que tu prennes ton courage pour faire la suite sans regarder en arrière. » Il poursuit simplement dans un ton qu’il rend le plus neutre possible, car d’un point de vue rationnel, c’est la seule chose qu’il puisse lui dire pour l’aider à prendre conscience des choses.

L’envie de fumer le prend, mais elle est vite stoppée par le fait qu’il est habituellement interdit de fumer dans les hôtels. Un sourire indolent ourle les lippes de Nicholas a la remarque de son ami. Cela ne le surprend même pas.

« Sois patient, tente de te faire discret et accepter sa rancœur si elle est présente. Saisis-toi des opportunités qui te seront offertes. Tu en as une en or. Tu vas devenir son manager. Ce n’est pas comme s’il avait vraiment le choix à part s’il souhaite vraiment tout gérer comme un grand. » Il ajoute simplement.

Pour lui c’est aussi simple que cela pour l’instant. Il doit se préparer à essayer une tempête, un blizzard, mais capable de tenir droit pour espérer trouver une fissure et s’y engouffrer pour revenir au calme. La patience sera de mise. C’est en tout cas ce qu’il suppose. Bien sûr, il ne manque pas de lui offrir une autre porte de sortie. Il pourrait aisément lui donner les moyens d’oublier cet homme s’il le désirait, mais cela n’est pas le cas. En conséquence, ii en arrive au point principal de sa présence en ces lieux : son déménagement. James semble tomber des nues, ce qui lui fait rouler des yeux en soupirant.

« Je t’ai dit mon penthouse est tellement grand qu’on ne se croisera même pas. De toute façon, j’y suis rarement tellement mes journées sont occupées et je crois que les tiennes le seront aussi. Tu seras quand même mieux dans mon penthouse qu’ici. C’est presque angoissant. En plus, ça te fera faire des économies pour te prendre quelque chose rapidement. Alors ? » Il le questionne pour savoir ce que son ami décide.

De son côté, il attend simplement son retour et qu’il plie ses affaires s’il accède à sa proposition sinon, il n’hésitera pas à lui fournir d’autres arguments.  

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(Tenue). Il sourit aux propos de son meilleur ami. Disons que ce n’était pas forcément aisé de parler de ce sujet par mail ou par messages. En tout cas, Nicholas n’aurait jamais pris le risque de poser par écrit son inclinaison pour les hommes sauf envers des partenaires potentiels. James et lui n’ont jamais eu d’ambiguïté sur ce plan, ce qui lui fait assurément que ce sujet n’est jamais tombé sur le tapis.

« Disons que nous avons souhaité que cela reste notre jardin secret jusqu’à aujourd’hui. » Il le taquine dans un petit sourire mutin qui s’effrite naturellement lors que le fond du problème de son ami est évoqué.

Une décision doit être prise. C’est évident. Quelle qu’elle soit, elle ne fera pas que des heureux. Nicholas est bien placé pour le savoir. Il a décidé de taire sa bisexualité, son libertinage et le seul amour qu’il a eu, pour ne pas faire de vague, devenir une déception pour ce père qu’il porte à haute estime. Depuis toujours, il sait qu’il finira par se marier avec une femme et enfanter pour continuer la dynastie des Cavendish. C’est un destin qu’il accepte et qu’il compte bien réaliser même s’il repousse l’échéance. Qu’importe la décision, il y aura des malheureux dans l’histoire, sauf s’ils parviennent à mettre de l’eau dans leur vin.

« Je crains que malheureusement des compromis seront nécessaires dans ta situation et notamment de leurs parts. Sans cela, tu n’auras que peu d’options et j’espère que tu privilégieras ton bonheur plutôt que le leur. » Il lui indique simplement car il a bien conscience de la situation délicate dans laquelle il se trouve.

Si cela devait se produire, il espère que ses parents l’aimeront suffisamment pour mettre leur égo de côté, tout comme lui souhaiterait que son père ne soit pas trop insatisfait de l’homme qui se cache derrière les traits de l’héritier parfait. Pour l’instant, la question ne se pose pas et cela lui convient totalement. Il sourit lorsque James évoque qu’il est à la ramasse. C’est vrai que ce n’est pas une attitude qu’il a l’habitude de voir chez son ami.

« Fais ce que tu as à faire, tente ta chance et je suis certains que les choses s’amélioreront petit à petit pour toi. » Il conclut simplement alors qu’il l’invite à préparer ses affaires.

Il est satisfait de le voir accéder à sa demande. Il lui offre un sourire satisfait alors qu’il sent la tape de son ami sur son épaule.

« Parfait. Quittons rapidement cette chambre qui sent l’homme dépressif. » Il le taquine avec un sourire narquois alors qu’un rire amusé s’épanche hors de ses lippes.

« Je t’attends alors. » Il lui indique alors qu’il vient s’emparer de son smartphone pour regarder les dernières notifications et mails reçus.

Il est concentré sur la tâche, passe un coup de téléphone pour trouver une solution pour un problème qu’un de ses collaborateurs lui a transmis. Il est encore au téléphone lorsqu’il voit la silhouette de son ami revenir dans le coin chambre pour emballer ses affaires. Il se dirige vers la fenêtre, n’hésite pas à l’ouvrir tout en continuant d’échanger avec son collaborateur. Il partage son attention sur l’extérieur et son ami qu’il suit du regard, un sourire indolent sur les lèvres. Il finit par conclure son appel avec son collaborateur et vient simplement s’accouder au niveau de la fenêtre pour sentir la brise de la journée frôler son visage.

« Du coup, c’est à New York que vit l’élu de ton cœur ? » Il questionne par curiosité.

« C’est quel type de mec ? » Il poursuit car il a bien envie d’en savoir plus.

Il voudrait surtout se faire une idée de l’homme qui parvient à rendre son meilleur ami aussi fébrile et en perte de confiance en lui. C’est intriguant, il faut bien le reconnaitre.