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{  “ -   Je me surpasse pour les retrouvailles. ”
feat Out Of Africa }
crédit/ bricole gif : google feat. @Clarence d'Egerton

Ca avait toujours été comme ça entre vous deux. Ne pas se prendre la tête. Se faire confiance. Que le sexe ne changerait rien à votre amitié. Elle était même que plus belle. Pouvoir s’abandonner. Lâcher prise. Sans avoir la fameuse discussion derrière. Celle qui peut finir avec une gifle, un coup de poing. Ou le pire : des larmes. Non. Avec Clarence, tu n’avais pas ce problème la. Vous savez très bien que ce n’était qu’une histoire de sexe. De prendre son pied. De s’abandonner au plaisir charnel. Et qu’une fois l’orgasme atteint, vous reprendrez votre route chacun de votre côté. En rigolerez. En faisant des sous-entendus. Comme des potes le feraient. Car c’était ce que vous étiez. Des amis. Avant d’être amant. Du bruit continuait à se faire entendre. Il semblerait que les personnes qui voulaient voir ta voiture avait élu domicile pour tu ne sais quel raison. Les vitres teintées ne leur montraient pas l’intérieur de la voiture. Et heureusement. Car même si tu étais fier de ta personne, tu ne voulais vraiment pas que le monde voit tes exploits sexuels à l’œuvre. C’était l’inconvénient d’être connu. Votre vie était exposée. Et s’ils pouvaient faire du buzz sur ton dos, ils n’hésiteraient pas. Et c’était quelque chose que le grand patron de la chaine ne voulait pas. Il savait que tu étais du genre à coucher à droite et à gauche. Il s’en fichait tant que tu ne faisais pas la couverture des magazines peoples. Ce qui t’arriverait si Clarence ne criait pas. Tu pouvais l’entendre contenir ses gémissements alors que tu le suçais. Pourtant, tu ne l’aidais vraiment pas. car tu étais aussi comme ça. Taquin. Qui aimait le danger. Sinon jamais tu n’aurais fais des courses de voitures clandestines ou te battre dans ta jeunesse pour le fun et de l’argent. Provocateur. Le bruit continuait à se faire entendre. Beaucoup plus proche que tout à l’heure. Tu pestas dans ta barbe, mécontent et frustrer d’arrêter et te releva en mettant un doigt sur ta bouche pour ordonner le silence. Le bruit continuait. Et tu sentais même ta voiture s’abaisser. Signe que quelqu’un s’était assis sur le capot de ta voiture. Tu portas un regard sur Clarence et glissa entre ses jambes pour lui murmurer à l’oreille. « Putain ils font chier. » L’envie était toujours la et bien voyante. Comme le bruit qui s’était fortement rapproché. « Tu crois qu’ils vont osé le faire sur le capot de ma caisse ? » Car le bruit n’était pas une conversation. Mais ressemblait beaucoup plus aux gémissements qu’étaient sorti de la bouche de Clarence. « S’ils baisent sur ma caisse, je sors direct le cul à l’air libre pour les envoyer chier. » S’il y avait bien quelque chose que tu ne supportais pas était qu’on prenait ta voiture comme lit. Toi tu le pouvais car c’était ta voiture. C’était différent. Eux n’en avaient pas le droit. « Je suis frustré. » Et c’était quelque chose que tu n’avais clairement pas l’habitude d’être. Comme ça devait être aussi le cas de Clarence. Et ça te faisait vraiment chier de patienter !

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{  “ -   Je me surpasse pour les retrouvailles. ”
feat Out Of Africa }
crédit/ bricole gif : google feat. @Clarence d'Egerton

L’image d’une couverture people où tu étais en premier page avec comme seul tenue celle d’Adam et le titre que te donnait Clarence te fit étirer un sourire aux lèvres. Les tabloids aimaient les grands titres. Ca se vendait bien. Mais quand il y avait du mystère ou que c’était une histoire d’amour ou de sexe. C’était le jackpot. Ça faisait encore plus vendre. Les New Yorkais étaient friands de ça. Et toi, ça te faisait soupirer. « Les hauts dirigeants ne seront pas content si cet article sorte. » Avant d’être présentateur, ils t’avaient bien dit leurs conditions. Une d’elle était de faire le moins de bruit possible. Difficile vu le passé que tu avais mais tu avais su faire face à tout ça. « Et je te signale que tu n’aimerais pas y être non plus dans leurs torchons. » Lui était aussi connu. Et une époque vous lever les yeux au ciel à chaque fois que vous avez eu un article de vous sur les journaux peoples. Et tu imaginais vu ce qu’il lui était arrivé qu’il ne voulait pas être de nouveau cité en première page du New York Times. Le silence était votre porte de sortie. Enfin, lui pensait l’inverse vu qu’il t’indiqua avoir une idée pour enlever les personnes qui s’apprêtais à prendre ton pare choc comme lit pour leur baise nocturne. Qui te fit une nouvelle fois grincé des dents. Ta voiture tu y tenais comme la prunelle de tes yeux. Et par-dessus tout tu étais frustré. Car toi c’était justement ce que tu comptais faire à Clarence. Des lèvres sur les tiennes te ramenèrent au moment présent. Ainsi que de la musique qui raisonnait à fond dans ta voiture. « C’était ça ton idée pour les faire fuir ? » La musique sortait de la voiture et tu pouvais imaginer le sursaut de surpris qu’eux les individus sur ta voiture. Tu levas les yeux sur le haut de ta voiture dans l’espoir d’y voir à travers. Ce que tu n’arrivais clairement pas. Tu tentas d’entendre le bruit qui était au travers de la musique. Tu n’entendais rien. Une main qui glissait sur ton entrejambe te fit sortir de ton examen. Un gémissement comme réponse. Ton regard se reposa sur Clarence dont le corps s’était rapproché contre le tien. Lui ne semblait nullement déranger par ce qu’il arrivait derrière. Et c’était bien le genre de personne qui se fichait que des individus le fasse sur sa voiture. Pas comme toi. Mais pour lui tu allais bien surpasser tout ça non ? Un sourire glissa sur tes lèvres alors qu’une de tes mains glissa dans sa chevelure blonde. Elle était le contraire de la tienne. Blond contre brun. Un parfait contraste. Taquin, un sourire amusé se glissa sur tes lèvres. « Bonne question, tu m’aides à retrouver ma mémoire ? » Tu jouais avec lui. Tu glissas tes lèvres dans son cou pour y remonter par des baisers papillons. « Fait les moi oublier et je te promets un aller simple au septième ciel. » Référence aux individus même s’ils sembleraient qu’ils ont pris la poudre d’escampette face à la musique qui s’était allumé toute seule dans ta voiture. Mais tu en n’étais clairement pas sur. Et tu aimais jouer. Tenter. Provoquer. Et tu en profitas pour poser ta bouche sur la sienne et venir coller ton corps le plus près possible du sien.