•• Nationalité(s) : Américaine, mais avec une touche d'italien et un soupçon de porto-ricain, alors méfiez-vous, elle a un sacré caractère!
•• Statut marital : Gemma, c'est une sacrée coquine, et gourmande quand elle veut! Elle est toujours prête à s'amuser et à explorer de nouveaux horizons, à tenter de nouvelles expériences. Malgré son amour profond, et sincère pour sa tendre Louisa, elle reste fidèle à elle-même. Sa libertinage n'a pas de prix! Elle laisse aussi de la place dans son lit pour d'autres qui lui tiennent à cœur, comme Gordon et Zenia. Ils font partie intégrante de sa vie, et Louisa le sait même si, elle aimerait avoir l'exclusivité.
•• Orientation sexuelle : Tu sais que tu es au sommet du bonheur quand tu fais trempette avec ta frite dans du jus de moules. C'est le paradis sur terre ! Alors sérieusement, que tu sois la frite, la moule, ça glisse tout seul
•• Métier / études : A la tête d'un empire de la drogue et du trottoir, elle est la fière propriétaire d'une maison close : the Red Cellar.
•• Quartier d'habitation : Manhattan
•• More about you :
we're curious
Le petit plus Triggers: Maltraitance animal essentiellement; Warnings: Mon personnage ne peut pas plaire à tout le monde, alors n'hésitez pas à me consulter si des sujets délicats vous touchent de près. Pronoms IRL: Moules fraîche. Pseudo: Red911 Pseudo discord: Red911 Multicomptes: Sara sans h, et Dario, le chasseur de moules! Habitude rp: J écris en JE. Couleur rp: Puisque tout est bon dans le cochon, j'écris en gras. Disponibilité rp: Tu peux venir me voir mon enfant
Penthouse • New York. TW: Organisation criminelle, proxénétisme, language cru, sexualité
L'ascenseur privé s''ouvrait directement sur le hall d'entrée, où je m'étais tenue, tel un enfant devant un distributeur de bonbons, impatiente à l'idée de retrouver Gordon et surtout de savourer cette délicieuse pizza qui m'avait fait tant envie.
Cette penthouse nous plongeait dans un univers où le luxe règne en maître. Zenia et moi avons méticuleusement imaginé la décoration idéale pour ses enfants, pour nous, et également pour mon futur petit trésor. D'ailleurs, j'avais déjà commencé à aménager une pièce en nursery. Ce petit trésor allait être gâté. J'étais déjà folle amoureuse de mon enfant.
La plupart des pièces disposaient de fenêtres si vastes qu'on pourrait y jouer à cache-cache au contour de cette ville qui ne dort jamais y compris dans ma chambre à coucher, où là, à cet instant, alors que j'avais peine eu le temps de lui faire le tour de cette somptueuse penthouse, que je me trouvais déjà dans les bras de Gordon, ma tête poser sur son torse, nous étions si bien, si apaiser. Devant nous se dressait une immense fenêtre qui s'étendait du sol au plafond, encadrant la vue éblouissante sur la ville. A couper le souffle.
Bordel qu'est-ce qu'on était bien là. Oui, soyez pas étonner, nous avons fait l'amour, et là, maintenant on profitait de cette vue magnifique.
"Ça va?" dis-je en lui déposant un baiser sur le torse avant de me redresser doucement pour attraper une part de pizza. Oui oui, la boîte était éventrée dans le coin du grand lit king size. J’attrapais une part et hop ! Un morceau dans ma bouche. Je sais que c'était malpoli de parler la bouche pleine mais "Hmmm, c'est la meilleure pizza." Je me penchais vers lui avec mon morceau. Et je le présentais devant sa bouche qu'il ne pouvait pas résister à croquer – finissant ma part mais ceci dit, il profitait surtout du moment pour m'attirer contre lui encore plus près. "Noooon chéri, laisse-moi au moins reprendre mon souffle ! Je suis fatiguée là, je te jure" La chaleur, la grossesse, le sport physique qu'il venait de me faire faire, j'avais de quoi être épuisé.
Oui, on dirait que nous sommes heureux n’est-ce pas ? Peut-être que nous l'étions vraiment. Pour ma part, je vivais un moment exceptionnel. J'étais heureuse et épanouie grâce aux personnes qui m'entouraient : lui, Zenia et surtout ma Louisa. Un secret que je préférais garder pour moi.
Ce penthouse était incroyable, et elle s'étendait sur les trois derniers étages de l'immeuble, ce qui nous permettait moi et Zenia d'avoir malgré tout notre indépendance.
Ceci dit, ce que j'adorais le plus dans cette immeuble, ce n'est pas, le coin cinéma, le spa, la salle de sport, les nombreuses chambres, les salles de bain, la cuisine que j'adorais tout autant aussi, ou bien, les nombreuses autres pièces qui ont été conçus par une firme d'architecture de renommée mondiale.
Ce n'était qu'autre que la terrasse du haut, du dernier étage.
Un véritable havre de paix perché au-dessus de la ville comme si nous étions les reines. Une énorme piscine à débordement comme si elle voulait faire la concurance aux influenceurs Instagram du coin, et ce, entourée de chaises longues et de palmiers en pot qui se prennent pour des stars hollywoodiennes Et cerise sur le gâteau : la perle de chez perle, un salon avec un espace dédié aux repas en plein air pour profiter des délices al fresco avec l'horizon new-yorkais comme toile de fond. C'était tellement magnifique que mes yeux ont failli exploser lors de la visite tout comme le prix de l'appartement.
L'endroit était purement magique.
(c) princessecapricieuse
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I got caught up in the atmosphere, feeling alive and free under the sparkling stars of the Puerto Rican night.. •• amaranth ♫♪
Gordon Cumberland aime ce message
« Gordon Cumberland »
•• habitant(e) de manhattan
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•• Date d'arrivée : 26/02/2024
•• Messages : 474
•• Dollars : 1414
•• Faceclaim : Jeffrey Dean Morgan
•• Les crédits : KRWN
•• Âge : 51
•• Nationalité(s) : Américaine
•• Statut marital : Célibataire
•• Orientation sexuelle : Hétérosexuel
•• Métier / études : Homme d'affaires et avocat
•• Quartier d'habitation : Manhattan
•• More about you : Avec l'âge vient la sagesse, mais parfois l'âge vient seul (Oscar Wild).
Pour Gordon, l'âge vient non pas avec la sagesse, mais bien le pouvoir. Le pouvoir d'arriver à ses fins. Le pouvoir de contrôler chacune des sphères de sa vie, mais aussi celles de ceux qui croisent sa route. Et cette soif de pouvoir ne saurait jamais être étanchée.
Le petit plus Triggers: Rien, mes p'tits loups Warnings: Sexe, prostitution, trafic de drogue. Pronoms IRL: Elle Pseudo: Fanaud Pseudo discord: Fanaud Multicomptes: Gabriel , Manuela , Thanos et Joseph Habitude rp: J'écris à la troisième personne et pour ce qui est du nombre de mots, je dirai ceci : trop. Je ne connais pas encore ma fréquence de RP, mais sûrement 2-3 fois par mois. Couleur rp: Disponibilité rp: 0 /5
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J'avais été chercher cette fameuse pizza qui m'avait été demandée. Bien garnie, extra fromage, il n'y avait rien de trop beau pour satisfaire les envies de Gemma. Elle était encore bien chaude lorsque les portes de l'acenceur s'étaient enfin ouverte sur le penthouse qu'elle venait d'acheter avec Zenia. Gemma m'était littéralement sauté dans les bras et j'avais failli échapper la boîte. Quelle tragédie cela aurait pu être si la croûte avait pris une direction contraire à celle de la garniture. Il aurait surtout fallu que je reparte en chercher une autre. Heureusement, la pizza était saine et sauve.
Gemma me fit faire un bref tour de la propriété. La lumière était splendide, les lieux étaient vastes, ils n'avaient pas lésiné sur le luxe. Cet immense appartement sur trois étages étaient très paisible puisque Zenia et les enfants étaient absents et nous avions bien l'intention d'en profiter...
Gemma ne tarda pas à me faire visiter la chambre à coucher, laquelle offrait une vue ahurissante sur la ville. La porte se refermait derrière nous et la tension était palpable. Notre dernière rencontre avait été des plus torride et nos échanges sms par la suite n'avait qu'augmenté notre désir l'un pour l'autre. Je m'étais donc fait une joie de lui retirer tous ses vêtements pour lui offrir mille et un plaisir. Je savais qu'elle ne pouvait pas me résister et que ses hormones la rendait insatiable. Ce fut intense, animal, savoureux et maintenant, nous étions blotti l'un contre l'autre, encore un peu essouflé de nos ébats animés.
La pizza trônant sur le coin du lit était à moitié entamée, il avait bien fallu reprendre des forces après tout. C'était encore plus savoureux ainsi, Gemma me tendant une pointe alors que nous étions collé l'un contre l'autre sous les draps. L'instant ne pouvait être plus parfait, nous étions simplement heureux, profitant du moment. Elle m'avait d'ailleurs demandé si ça allait, j'avais souris bêtement. La réponse était une évidence même. Lorsqu'elle m'a tendu la pointe, j'en ai profité pour aggriper sa main et son bras, la ramenant encore un peu plus contre moi. J'avais atteint le 7e ciel déjà, mais la douceur de sa peau contre la mienne me donnait l'envie de recommencer encore et encore. Elle faisait mine de me repousser.
Ah oui, tu en as eu assez? Gemma Santantonio n'en peut plus de tout ce plaisir? Et moi qui voulait t'offrir un bon massage... en profondeur... Mais je comprends, tu as eu ce que tu voulais et maintenant tu n'as plus besoin de moi. Une chance que je ne suis pas trop succeptible...
Je la taquinais, jouant avec ses cheveux et carressant sa nuque et son cou avant d'y déposer un baiser. Je souriais toujours, mais soudainement, je devins pensif.
De toute façon, je pense qu'il y avait d'autres points à l'ordre du jour aujourd'hui... n'est-ce pas?
Je ne voulais pas casser l'ambiance, mais en même temps, certaines choses se devaient d'être discuté. Avec les échanges sms avec Alvaro et Gemma dans les denières semaines, plusieurs informations m'avait été rapportées, mais elles ne faisait pas beaucoup de sens et Gemma avait promis de me fournir quelques explications. D'ailleurs, je pense bien honnêtement que je les méritais. Nous étions ami et partenaire d'affaires depuis assez longtemps et à nouveau amants. Je devais savoir ce qui se tramait avec cet enfoiré d'Alvaro. Notre avenir en dépendait, autant notre avenir à tous les deux que celui de notre business.
•• Nationalité(s) : Américaine, mais avec une touche d'italien et un soupçon de porto-ricain, alors méfiez-vous, elle a un sacré caractère!
•• Statut marital : Gemma, c'est une sacrée coquine, et gourmande quand elle veut! Elle est toujours prête à s'amuser et à explorer de nouveaux horizons, à tenter de nouvelles expériences. Malgré son amour profond, et sincère pour sa tendre Louisa, elle reste fidèle à elle-même. Sa libertinage n'a pas de prix! Elle laisse aussi de la place dans son lit pour d'autres qui lui tiennent à cœur, comme Gordon et Zenia. Ils font partie intégrante de sa vie, et Louisa le sait même si, elle aimerait avoir l'exclusivité.
•• Orientation sexuelle : Tu sais que tu es au sommet du bonheur quand tu fais trempette avec ta frite dans du jus de moules. C'est le paradis sur terre ! Alors sérieusement, que tu sois la frite, la moule, ça glisse tout seul
•• Métier / études : A la tête d'un empire de la drogue et du trottoir, elle est la fière propriétaire d'une maison close : the Red Cellar.
•• Quartier d'habitation : Manhattan
•• More about you :
we're curious
Le petit plus Triggers: Maltraitance animal essentiellement; Warnings: Mon personnage ne peut pas plaire à tout le monde, alors n'hésitez pas à me consulter si des sujets délicats vous touchent de près. Pronoms IRL: Moules fraîche. Pseudo: Red911 Pseudo discord: Red911 Multicomptes: Sara sans h, et Dario, le chasseur de moules! Habitude rp: J écris en JE. Couleur rp: Puisque tout est bon dans le cochon, j'écris en gras. Disponibilité rp: Tu peux venir me voir mon enfant
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Une fois la pizza posée de côté, je glissai doucement ma main le long de son torse, me blottissant encore plus près de lui. Je fermai les yeux un instant, savourant le rythme de sa respiration qui me calmait, comme une berceuse silencieuse. Dans ses bras, je me sentais en sécurité, comme si plus rien ne pouvait nous atteindre.
" Tu sais que tu me rends complètement folle, toi? " murmurai-je, un sourire tendre se dessinant sur mes lèvres. Sans cesser de le regarder, je me redressai pour déposer un baiser léger sur sa joue, puis un autre sur le coin de ses lèvres, taquinant cette frontière entre douceur et désir, amplifiant cette proximité intime, comme un secret partagé entre nous.
" Un massage en profondeur? " répétai-je avec un éclat de malice dans les yeux, mes lèvres effleurant les siennes en un sourire joueur. " Étrange, mais cela sonne un peu dans la perversion, je me trompe? Monsieur aurait-il encore envie de moi? Ce n'est pas possible qu'il te reste encore de la réverse dans ton recevoir à couille "
Je me laissai aller tout contre lui, bercée par la chaleur de son corps et le confort de ses bras. La chambre était plongée dans une douce lumière tamisée, qui semblait ne briller que pour nous, comme pour garder l’instant suspendu. Les rires s’étaient peu à peu effacés, laissant place à un silence complice, paisible. Je caressai doucement son visage, mes doigts effleurant les contours de sa mâchoire, comme pour m’imprégner de chaque détail, de chaque sensation. Mon regard accroché au sien, je sentais mon cœur battre à l’unisson du sien, et rien d’autre n’avait d’importance.
" Quand tu es là, plus rien n’a d’importance… " murmurai-je tout bas, mes lèvres effleurant sa peau. " C’est comme si le temps s’arrêtait pour nous, comme si tout le reste disparaissait alors honnêtement, je ne veux même pas y penser d'autres points à l'ordre du jour aujourd'hui comme tu le dis si bien, je ne veux penser qu'à toi et moi. Je ne suis pas ici pour parler d'Alvaro ou de qui d'autres. " Je levai les yeux vers lui, un sourire empreint de douceur flottant sur mes lèvres, sentant la profondeur de mes sentiments pour lui s’amplifier à chaque instant passé ensemble.
Je laissai mes doigts caresser doucement sa nuque, suivant la courbe de son cou, avant de déposer un baiser tendre à cet endroit où son parfum m’enivrait. Blottie tout contre lui, je sentis son bras se resserrer autour de moi davantage.
" Reste un peu... " murmurais-je d’une voix douce, presque pour moi-même. " J’ai envie de prolonger cet instant, juste toi et moi, comme si le monde entier pouvait attendre. " Mes doigts caressaient doucement sa peau, comme si chaque geste pouvait sceller ce moment parfait dans ma mémoire.
Je me laissai porter par le désir qui montait, mes doigts glissant lentement sur sa peau, savourant chaque contour de son torse, chaque frémissement sous mes caresses. Ma main se faisait douce et sensuelle, explorant le creux de son bas-ventre, dansant sur cette frontière entre provocation et plaisir, s'aventurant parfois jusqu’à son sexe, que je prenais entre mes doigts avec délicatesse, un sourire joueur aux lèvres. Je sentais sa respiration se faire plus profonde, et ce simple effet me donnait envie de le faire vibrer davantage.
Mes lèvres, impatientes, réduisirent la distance entre nous, traçant leur chemin depuis les siennes, se glissant doucement le long de son cou, savourant la douceur de sa peau. J’embrassais son torse avec lenteur, m’attardant sur ses tétons, effleurant son ventre, mes baisers se faisant plus intimes, jusqu’à rejoindre ce point que j’aimais tant explorer.
En m’installant, mon ventre rond me rappelait la vie que je portais en moi, m’invitant à chercher une position confortable, afin de pouvoir m’adonner pleinement à lui, à ses envies. Une fois lovée contre lui, je le laissai s’abandonner à moi, mes lèvres offrant toute leur tendresse à son sexe, le goûtant avec cette sensualité que je savais lui plaire. J'étais attentive à chaque détail, à chaque réaction, mes lèvres et ma langue s'unissant pour lui prodiguer un plaisir que nous seuls partagions dans cette intimité.
Parfois, mes yeux cherchaient les siens, comme pour y lire chaque émotion, chaque frisson que je lui offrais. Et quand nos regards se croisaient, je ne pouvais m’empêcher de sourire, un sourire taquin, empreint de malice et de tendresse.
" Tu as cru vraiment que Gemma Santantonio était rassasiée? Quelle insulte. " lui soufflai-je doucement, un éclat de rire résonnant dans ma voix.
Je me redressai délicatement, venant m’asseoir à côté de lui, savourant encore la chaleur de notre étreinte. Lentement, j’effleurai mes lèvres du bout des doigts, les yeux toujours posés sur lui, comme un dernier jeu de séduction.
Nue devant lui, mon regard toujours ancré dans le sien, je ne pouvais m’empêcher de briser ce silence en lui disant d’une voix douce.
" L’autre point dont tu voulais qu’on parle, c’est Zenia, n’est-ce pas ? "
Un léger malaise passa sur mon visage, une gêne sincère face à cette intimité que nous partagions alors que j’avais promis à Zenia de ne plus toucher à Gordon. Cette promesse m’avait semblé importante, presque sacrée à ce moment-là, et pourtant, ici, maintenant, tout me semblait brouillé.