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Love me tonight - Nicky & Will |
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Aller à la page : 1, 2, 3, 4 | | •• habitant(e) de manhattan identity card •• Date d'arrivée : 26/05/2024 •• Messages : 118 •• Dollars : 654 •• Faceclaim : Matt Bomer •• Les crédits : BlackCat, Awonaa
•• Âge : 40 •• Nationalité(s) : Anglaise et américaine •• Statut marital : Célibataire •• Orientation sexuelle : Officiellement hétérosexuel, officieusement gay •• Métier / études : Gestionnaire de biens immobiliers •• Quartier d'habitation : Manhattan we're curiousLe petit plusTriggers: Aucun, totalement ouvert à la discussionWarnings: Jeux d’argent, addictions (drogues diverses), libertinage, sexualité explicite, age-gap, maladies graves, milieu de la nuitPronoms IRL: Il/ellePseudo: BlackCatPseudo discord: (facultatif)Multicomptes: Habitude rp: J’écris à la première personne. Environ 500 mots mais ça peut être plus. Je réponds assez rapidement en général.Couleur rp: Disponibilité rp: Dispo | William Price Sam 13 Juil - 22:29 Love me tonight with @Nicholas Cavendish
TW : aucun.
Il me manquait. Plus encore qu’auparavant. Cette nuit que nous avions passé ensemble avait ravivé mes sentiments, plus encore que je ne l’aurais pensé. Je n’avais pas réussi à penser à autre chose. Même alors qu’il m’avait complètement ignoré le lendemain. Je lui en avais voulu, bien sûr. Je détestais le fait qu’il n’assume pas tout ce que nous avions vécu, tout ce que nous nous étions dit. Mais à présent, maintenant que j’étais à nouveau en route pour le rejoindre, je n’arrivais plus à lui en vouloir. Je ne pensais plus qu’à une chose, le rejoindre. Passer un peu de temps avec lui. Une soirée, une nuit. Quelques heures, juste lui et moi.
J’avais du mal à cacher le sourire qui trainait sur mes lèvres. Ce sourire, que je n’avais pas porté depuis bien longtemps. Nicky était redevenu ma drogue. Il avait réveillé cet adolescent en moi, le jeune homme qui était tombé éperdument amoureux de lui. Celui qui l’aimait sans la moindre retenue, sans barrières. Je savais, que j’allais m’y brûler les ailes. Mais je m’en fichais.
J’avais sauté dans mes chaussures, après nos sms. Dans un autre monde, je l’aurais emmené au restaurant ce soir. Mais malheureusement, c’était totalement impossible. Tout comme avant, nous ne pouvions pas nous le permettre. Alors, j’allais emmener le restaurant à lui. J’avais attrapé mes affaires, avait été déniché une de mes meilleures bouteilles, puis avait passé commande auprès d’une bonne adresse en ville. J’avais sans doute pris trop de plats, m’était légèrement laissé emporté dans mon élan, mais ça n’avait pas d’importance. J’avais commandé ce qu’il aimait, les mets qui, je le savais, lui mettrait l’eau à la bouche. J’avais voulu passer chez le fleuriste, mais il était fermé, rien de plus normal vu l’heure tardive. Par chance, j’avais trouvé mon bonheur auprès d’un vendeur de rue, auprès duquel j’avais acheté tout son stock, pour pouvoir en faire un bouquet convenable. J’en faisais trop. Je devinais déjà sa réaction à l’instant même où il me verrait débarquer avec tout cela mais cela m’amusait. C’était le genre d’attention que j’avais, lorsque mon cœur se laissait aller.
C’est armé de tout cela que j’avais fini par me rendre chez lui. Je n’avais pas pris la peine d’être discret cette fois. J’avais simplement appuyé sur sa sonnette et avait ensuite patiemment attendu dans l’ascenseur, qu’il me mène jusqu’à son étage. Posté devant la porte, j’avais préparé mon plus beau sourire, le bouquet devant moi, en attendant que les portes ne s’ouvrent enfin sur lui.
« Surprise ! »
Je lui tendis les fleurs, avant de lui montrer mes sacs que je tenais dans l’autre main.
« J’espère que tu as faim. »
_________________ — love Baby, it's harder to breathe when you're gone. So I hold in my hands pictures of you. I'm always running to you. I’m dreaming of the day we еmbrace and combust | | | •• habitant(e) de manhattan identity card •• Date d'arrivée : 24/05/2024 •• Messages : 326 •• Dollars : 3266 •• Faceclaim : jonathan bailey •• Les crédits : SKEYDE, mars
•• Âge : 33 •• Nationalité(s) : Américain •• Statut marital : Célibataire. •• Orientation sexuelle : Bisexuel. Il aime les femmes autant que les hommes tant que c'est lui qui est au contrôle des commandes. Seulement au yeux du monde, il est hétérosexuel et le restera pour le bien être de son père. •• Métier / études : Gérant du Palace Hotel, dont le PDG de l'hôtel de son père et propriétaire et gérant de Desire. •• Quartier d'habitation : manhattan
•• More about you :
Mai 2024 :
James #01 (en cours)
Azraël #01 (à venir)
William #01 (fini)
Ulysse #01 (en cours)
Jasmine #01 (en cours)
William #02 (fini)
Juin 2024 :
William #03 (fini)
William #04 (fini)
Hailey #01 (en cours)
Juillet :
William #05 (en cours)
# vient d'une lignée aristocratique anglaise.
# est le futur héritier de sa famille.
# avait une grande-soeur de 7 ans son ainée. Elle est décédée, il y a 8 ans à la suite d'un malheureux accident de la route. Un chauffard l'a fauché alors qu'elle rentrait d'une soirée.
# s'est cru une seule fois amoureux. un ami de sa soeur de l'université. il avait 17 ans, près de 18 ans. Ils ont eu une relation passionnelle durant 8 mois, avant que ce dernier ne disparaisse du jour au lendemain sans lui donner des nouvelles avec un cadeau d'adieu.
# se considère comme un libertin. Il y a bien trop de beautés tant féminines que masculines pour se contenter que d'une seule personne.
# aime le poker. c'est un très bon joueur. jeu auquel il s'adonne dans les soirées privées qu'il tient dans son club "Desire".
# porte des lunettes pour lire, travailler et regarder la télévision.
DEAR/HAILEY Hailey, la femme de sa vie, celle qui connait chaque partie de son âme, celle qu'il compte bien prendre pour épouse et comme mère de ses enfants. Elle sera une parfaite Cavendish. Elle l'est déjà depuis des années. C'est cette âme qu'il adore profondément, lui vouant une confiance aveugle. Il l'a aimé, mais pas comme il aurait dû. Pas suffisamment. Pas de la manière qu'il aurait dû, qu'elle le mérite. Pas comme il aimé lui. Lui qui hante encore son coeur malgré son déni profond.
HONEY/WILLIAM Ce fantôme qui refait surface dans sa vie. Celui qui lui fait perdre la tête de nouveau. Ce feeling qu'il a avec cet homme est aliénant. Il a beau vouloir y résister, il succombe à chaque fois. Ses retrouvailles le perturbent au plus haut point. Il lutte pour ne pas lui offrir de nouveau ce qu'il lui a pris avant de disparaitre, mais le coeur à ses raisons que sa raison ignore.
we're curiousLe petit plusTriggers: aucun a partir du moment qu'on en discute.Warnings: Homicide involontaire (accident de la route, décès), drogues (consommation de cannabis), pratiques sexuelles anormales (libertinage), jeux d’argent (poker), milieu de la nuit (prostitution), maladie (cancer, retrait d'un rein) age-gap (7 ans).Pronoms IRL: elle.Pseudo: mary.Pseudo discord: mary_30Multicomptes: zachary smith, lucas deschamp, angel olivaresHabitude rp: J'écris au il, en français. En moyenne, je fais entre 400 et 1000 mots en fonction de l'inspiration. Je privilégie la qualité à la quantité.Couleur rp: Disponibilité rp: | Nicholas Cavendish Sam 13 Juil - 23:16 Love me tonight with @William Price
TW : aucun.
(Tenue/Song). Il a tenu la promesse qu’il s’est faite la veille : il a récupéré son retard. Après une soirée et nuit passée aux côtés de celle qui parvenait toujours à insuffler un peu de légèreté dans son cœur même lorsqu’il se tracassait, le fait d’avoir pu poser des choses la veille, lui avait permis de retrouver une forme de sérénité. Malgré tout, le silence de William commence à lui peser. Il sait que ça ne devrait pas le tracasser. Après tout, il peut faire la tête de mule s’il le désire, c’est son bon droit. Il ne doit pas avoir le pouvoir de le perturbe. En réalité, oui et non. Il a pesé le pour et le contre. Il a fini par céder à la possibilité de lui envoyer un SMS. Il a fait le premier pas de nouveau. William a répondu. L’échange s’est tendu comme à leurs habitudes. Difficile pour eux de faire autrement. Surtout pour Nicholas. Pourtant, il ne parvient plus à mentir, feindre l’indifférence. Leur nuit commune a fragilisé ses barrières. Il le déteste pour cela. Hailey savait que ça allait se produire. Lui, il a voulu croire qu’il ne retomberait pas dans ses filets. Peine perdue, il fonçait tête baissée. Il se méprise pour cela. Pourtant, cela ne l’empêche pas d’éteindre son ordinateur portable qu’il glisse dans son sac à dos afin de rentrer chez lui. Être présent au cas où William aurait de l’avance. Il lui a demandé de lui faire confiance. Il lui a demandé de ne pas lui faire regretter. Son cœur s’agite dans sa poitrine à l’idée de retrouver William. Dans le secret de son appartement que James a déserté pour le travail, les possibilités de scénarios sont multiples. Il n’a pas pour coutume d’anticiper, mais quand il s’agit de William, il perd un peu l’esprit et son insécurité lui joue des tours, le rend assurément inconstant également, mais il ne peut faire autrement. Il lui faut une quinzaine de minutes pour rejoindre son appartement à moto. Il range naturellement ses affaires et vient s’emparer de deux verres et d’une bouteille de whisky. Il hésite à prendre un verre, mais s’abstient. Il doit perdre cette mauvaise habitude prise de se donner du courage en liquide pour affronter certaines choses. Il préfère se rabattre sur une cigarette qu’il embrasse avant de se diriger vers son tourne disque pour lancer un album qu’il affectionne : celui de cigarettes after sex. Les premières notes apaisantes de la musique emplissent le salon alors que ses phalanges viennent battre la mesure. Sa cigarette entre ses lèvres, il profite de cet interlude en venant s’installer confortablement sur son canapé. Il l’écrase dans le cendrier à l’instant où il entend la sonnette resonner dans l’appartement. Il se relève et se dirige naturellement vers l’interphone pour ouvrir. Il ressent le même trouble que deux jours auparavant. Cette fébrilité ne lui ressemble pas. Pourtant, il a toujours été là avec William. Il a toujours eu ce pouvoir de l’ébranler, le mettre en insécurité. Il a apprécié cela par le passé. Aujourd’hui, c’est plus conflictuel. Il a souffert de son absence. Pourtant, l’affection et le désir sont toujours là. Seulement, il n’a pas envie de souffrir de nouveau. Il est revanchard, mais cette douleur, il ne veut jamais devoir en subir les conséquences et rien ne lui assure que s’il baisse totalement la garde : il en sera préservé. Lorsqu’il entend l’ascenseur arriver à son otage, il vient simplement ouvrir la porte. Il ne peut pas reculer, alors il avance toujours. Il ne s’attendait pas à le voir avec un bouquet de fleurs et avec des sacs contenant un repas. Son enthousiasme vient en contradiction avec cette frustration ressentie dans les SMS échangé. Il est décontenancé alors qu’il récupère le bouquet dans une attitude hagard alors qu’il se décale pour le laisser entrer. Ses prunelles glissent sur ce bouquet. Cette marque d’attention qu’il lui arrivait d’avoir lorsqu’ils avaient été. Tout comme de débarquer avec un repas à partager dans sa chambre étudiante, car il le savait là à l’attendre. Les reliques des souvenirs passés bousculent son cœur, mais il est encore sous le coup de l’émotion pour pouvoir verbaliser certains mots. Il déglutit alors qu’il se contente de se rendre dans le couloir de son appartement pour retrouver son coin cuisine afin d’attraper un vase afin d’y placer les fleurs. Il déglutit de nouveau, s’intime à prendre une grande inspiration pour tenter de masquer sa fébrilité.
« Merci pour les fleurs. » Il se contente de murmurer dans un ton encore sonné alors que ses prunelles ne quittent pas ses fleurs dépareillées, qui ont dû être achetées dans la rue en vue de l’horaire tardif.
Un rappel de l’attitude romantique de celui qui a été son petit ami par le passé. Une facette qu’il a connue tardivement lorsque les sentiments s’étaient installés et qui ont fait qu’il s’est laissé envouté par elles, tombant jour après jour plus amoureux que la veille.
« Tu nous as pris quoi à manger ? » Il questionne en tentant de reprendre contenance et notamment de s’extirper de ces vieux souvenirs et détails qui ébranlent son cœur.
Son regard vient retrouver les prunelles claires de son compagnon pour la soirée. Les émotions qu’il ressent à sa présence sont complexes. Il est à la fois satisfait et tiraillé de le trouver là. Pourtant, il se rend bien compte qu’il lui a manqué. Seulement, il ne le dit pas. Son regard peut peut-être le trahir ou ses non-dits, mais il ne les avouera pas à haute voix.
« On peut s’installer dans le salon. J’ai sorti le whisky, mais si tu préfères une bonne bière, je dois avoir ça. A moins que tu ais envie d’autres choses ? » Il ajoute simplement alors qu’il voit une bouteille de vin s’extirper de l’un de ses sachets apportés.
A moins qu’il le souhaite boire le vin d’une bonne bouteille, comme s’ils partageaient un diner romantique en tête à tête. Ce qui sera plus ou moins le cas, mais ils ne sont pas amoureux. Du moins, c’est ce qu’il va prétendre pour ne pas sentir son cœur devenir plus tremblant, désemparé par ces émotions qu’il engendre en lui, encore et toujours.
_________________ Baby I'm losing my patience, I'm counting the rest of my days Dodging your love like the Matrix, trust I ain't come here to play The last thing I'll do is come chase Though I kinda like the chasing, I should've never got complacent Got the price to pay And all that I can say is I only love you when I'm losing you (c)mars.
| | | •• habitant(e) de manhattan identity card •• Date d'arrivée : 26/05/2024 •• Messages : 118 •• Dollars : 654 •• Faceclaim : Matt Bomer •• Les crédits : BlackCat, Awonaa
•• Âge : 40 •• Nationalité(s) : Anglaise et américaine •• Statut marital : Célibataire •• Orientation sexuelle : Officiellement hétérosexuel, officieusement gay •• Métier / études : Gestionnaire de biens immobiliers •• Quartier d'habitation : Manhattan we're curiousLe petit plusTriggers: Aucun, totalement ouvert à la discussionWarnings: Jeux d’argent, addictions (drogues diverses), libertinage, sexualité explicite, age-gap, maladies graves, milieu de la nuitPronoms IRL: Il/ellePseudo: BlackCatPseudo discord: (facultatif)Multicomptes: Habitude rp: J’écris à la première personne. Environ 500 mots mais ça peut être plus. Je réponds assez rapidement en général.Couleur rp: Disponibilité rp: Dispo | William Price Sam 13 Juil - 23:58 Love me tonight with @Nicholas Cavendish
TW : aucun.
Je vois clairement, qu’il ne s’attendait pas à tout ça. Il a l’air quelque peu absent, surpris de mes attentions à son égard tandis que je pénètre pleinement dans son appartement. Je ne loupe pas une miette de ses réactions. Du regard qu’il porte à mon pauvre bouquet qui ne ressemble pas à grand chose mais qui a au moins le mérite d’exister. Voir l’impact de cette attention sur lui me rempli d’un sentiment d’allégresse bien trop agréable. Nicky a beau essayer de se voler la face, son corps parle à sa place. Mes yeux l’accrochent. Ils l’admire. Je ne peux pas m’en empêcher. De le trouver séduisant. De me dire une fois de plus qu’il a bien trop de charme pour mon cœur qui est bel et bien réveillé, rien que pour lui.
« Ça te va bien, ce que tu portes. »
Un compliment, presque un murmure, alors que je laisse mes yeux couler le long de ses bras, jusqu’à tomber sur son poignet, où sa montre trône, encore et toujours, semblant inébranlable. Je fini par déposer les sacs sur la table du salon, sans réellement attendre qu’il m’en donne l’autorisation. Je déballe les plats les uns après les autres, lui offrant un sourire à sa question.
« J’ai pris des spécialités grecques. Un peu de tout. J’avoue que j’ai un peu craqué sur les quantités. »
Ça faisait partie des cuisines que nous aimions tous les deux. Je gardais pour moi le fait d’avoir pris essentiellement des plats qu’il préférait, préférant qu’il le découvre par lui même.
« J’ai une bonne adresse en ville, tu me diras ce que tu en penses. Ils font une moussaka à tomber. »
Ses yeux glissent dans les miens. Il me secoue, ce regard. J’y lis des choses bien trop contradictoires à mon goût. Mais je le sens, que je ne le laisse pas indifférent. Je le sens, ce regard éprit d’amour qui me transperce. Les mots ne sortent ni de sa bouche ni de la mienne, mais est-ce vraiment utile, après tout ?
« J’ai prévu ce qu’il faut. Un Chambertin Grand Cru de 2017. Une petite merveille. Ça te va ? »
Je déposais la bouteille à côté des plats, plutôt fier de mon effet. Je me glissais ensuite dans la cuisine à la recherche d’un ouvre bouteille, dont je m’emparais en même temps que des couverts.
« Tu nous sors des verres, s’il te plaît ? »
La situation était quelque peu lunaire. Il y avait quelque chose de nostalgique, dans ce moment. Les souvenirs de nos soirées romantiques se rappelait à moi, en contradictions avec nos derniers échanges de sms. Je ne voulais pas de prise de tête. Pas encore. Pas maintenant. Et heureusement, mon amant semblait dans le même état d’esprit que moi. J’attrapais la bouteille délaissée que j’ouvrais sans attendre, remplissant nos verres comme il se devait. Je m’emparais ensuite du mien, le faisant tinter avec le sien, laissant mes yeux tomber dans les siens à nouveau.
« À nous. »
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•• Âge : 33 •• Nationalité(s) : Américain •• Statut marital : Célibataire. •• Orientation sexuelle : Bisexuel. Il aime les femmes autant que les hommes tant que c'est lui qui est au contrôle des commandes. Seulement au yeux du monde, il est hétérosexuel et le restera pour le bien être de son père. •• Métier / études : Gérant du Palace Hotel, dont le PDG de l'hôtel de son père et propriétaire et gérant de Desire. •• Quartier d'habitation : manhattan
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Mai 2024 :
James #01 (en cours)
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William #02 (fini)
Juin 2024 :
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# vient d'une lignée aristocratique anglaise.
# est le futur héritier de sa famille.
# avait une grande-soeur de 7 ans son ainée. Elle est décédée, il y a 8 ans à la suite d'un malheureux accident de la route. Un chauffard l'a fauché alors qu'elle rentrait d'une soirée.
# s'est cru une seule fois amoureux. un ami de sa soeur de l'université. il avait 17 ans, près de 18 ans. Ils ont eu une relation passionnelle durant 8 mois, avant que ce dernier ne disparaisse du jour au lendemain sans lui donner des nouvelles avec un cadeau d'adieu.
# se considère comme un libertin. Il y a bien trop de beautés tant féminines que masculines pour se contenter que d'une seule personne.
# aime le poker. c'est un très bon joueur. jeu auquel il s'adonne dans les soirées privées qu'il tient dans son club "Desire".
# porte des lunettes pour lire, travailler et regarder la télévision.
DEAR/HAILEY Hailey, la femme de sa vie, celle qui connait chaque partie de son âme, celle qu'il compte bien prendre pour épouse et comme mère de ses enfants. Elle sera une parfaite Cavendish. Elle l'est déjà depuis des années. C'est cette âme qu'il adore profondément, lui vouant une confiance aveugle. Il l'a aimé, mais pas comme il aurait dû. Pas suffisamment. Pas de la manière qu'il aurait dû, qu'elle le mérite. Pas comme il aimé lui. Lui qui hante encore son coeur malgré son déni profond.
HONEY/WILLIAM Ce fantôme qui refait surface dans sa vie. Celui qui lui fait perdre la tête de nouveau. Ce feeling qu'il a avec cet homme est aliénant. Il a beau vouloir y résister, il succombe à chaque fois. Ses retrouvailles le perturbent au plus haut point. Il lutte pour ne pas lui offrir de nouveau ce qu'il lui a pris avant de disparaitre, mais le coeur à ses raisons que sa raison ignore.
we're curiousLe petit plusTriggers: aucun a partir du moment qu'on en discute.Warnings: Homicide involontaire (accident de la route, décès), drogues (consommation de cannabis), pratiques sexuelles anormales (libertinage), jeux d’argent (poker), milieu de la nuit (prostitution), maladie (cancer, retrait d'un rein) age-gap (7 ans).Pronoms IRL: elle.Pseudo: mary.Pseudo discord: mary_30Multicomptes: zachary smith, lucas deschamp, angel olivaresHabitude rp: J'écris au il, en français. En moyenne, je fais entre 400 et 1000 mots en fonction de l'inspiration. Je privilégie la qualité à la quantité.Couleur rp: Disponibilité rp: | Nicholas Cavendish Dim 14 Juil - 0:43 Love me tonight with @William Price
TW : aucun.
(Tenue/Song). Il peine à reprendre contenance. C’est une sensation désagréable, mais à laquelle il ne peut se défaire. Ses émotions sont à fleur de peau face aux attentions de son invité. Son regard qui vient se loger dans le sien lui arrache quelques frissons d’anticipation qu’il ne devrait pas ressentir. Son compliment le perturbe. Il ne devrait pas. Il s’adjoint à reprendre contenance. Il ne peut pas dévoiler sa fébrilité comme il est en train de le faire. Il sait que William va s’immiscer dans la brève, se montrer conquérant pour obtenir des droits qu’il lui donnera, car il ne saura pas faire autrement. Il l’a appris à ses dépens, il y a deux jours. Seulement, au fond, c’était peut-être ce dont il avait besoin également. Il ne peut pas oublier à quel point, il s’est laissé prendre face au charisme de William et le plaisir qu’il en a retiré de lui appartenir. Ce genre d’ivresse, il ne l’a expérimenté qu’avec lui. Du moins avec cette intensité qui retourne le cœur et l’esprit au point de devenir le pantin de ses désirs.
« Merci. Je peux te retourner le même commentaire. » Il lui indique dans un ton qu’il rend stable et détaché, mais ce n’est qu’une façade.
Tout simplement parce qu’il n’est pas juste élégant dans cette tenue, mais il dégage quelque chose qui l’attire inexorablement quand bien même il aimerait que cela ne soit pas le cas. Il se rend compte que William prend ses aises dans son appartement. Il fait partie des rares chanceux qui ont passé le pas de sa porte, de son antre. Il y est même venu bien trop de fois en quelques mois. Pourtant, il semble à sa place et il se rend compte qu’il y a quelque chose de plaisant de le voir là, ici, chez lui, alors que ça ne devrait pas être le cas. Surtout pour partager un repas ensemble, comme si cela faisait partie d’une routine pour eux. Cela ne le devrait pas. Pourtant, William semble encore connaitre ses gouts puisqu’il a pris des spécialités grecques. Il est fort à parier que vu qu’il lui sort le grand jeu, ce dernier n’a pas manqué de prendre celles qu’il préfère.
« Bonne idée. » Il se contente de lui répondre alors qu’il l’écoute poursuivre sur sa lancée.
Il lui propose naturellement quelque chose à boire. Comme il en prie connaissance, William avait même pensé au cru qu’ils allaient consommer. Ce qui ne fait que confirmer le doute qui se loge dans son esprit. C’est un repas romantique qu’il a orchestré pour ce soir et le pire dans cette histoire, c’est qu’il ne peut pas s’empêcher d’y être sensible. Il le déteste pour cela, pour sa capacité à agir comme s’il n’y avait pas de fantômes dans les placards et d’assumer aussi aisément les sentiments qu’il dit ressentir à son égard. L’envie-t-il ? Un peu. Il aimerait être celui qui a éconduit et non qui l’a été. La place lui semble bien plus confortable que la sienne présentement. Il lui demande de leur sortir des verres. C’est ce qu’il s’applique à faire afin de ne pas rester inerte. Agir pour ne pas réfléchir. Agir pour ne pas se laisser submerger par des émotions. Il s’empare de deux verres à vins qu’il ramène dans le salon. Il lui est possible de voir les différents plats qu’il a pris : essentiellement ceux qu’il préfère.
« Je vois que tu as pris une attention toute particulière pour me contenter. » Il commente pour lui faire comprendre qu’il sait bien de quoi il en ressoute ce soir.
Il tente de rendre le ton léger, mais ce n’est pas une mince affaire pour lui. Il a tant de mal à lâcher prise, à accepter aussi facilement ces reliques du passé, à les apprécier pour ce qu’elles sont : des moments appréciables en compagnie l’un de l’autre. Il laisse son verre tinter contre le sien. Il laisse son regard plonger dans le sien alors qu’il trinque à leur honneur. Il ne fait aucun commentaire. Il se contente de boire une gorgée avant de reposer le verre sur la table basse.
« Merci pour le repas. » Il commente simplement alors qu’il se rapproche des différents plats pour les découvrir.
Pour être plus à son aise, il décide de quitter le canapé pour rejoindre le côté moelleux du tapis sur lequel il se pose. Ce sera quand même plus facile pour manger. Il découvre les différents plats, observe les mets qui ouvrent son appétit.
« Cela a l’air très bon. » Son ton se veut léger, mais il manque d’entrain. Il le sait et il s’en veut un peu, mais c’est plus fort que lui. Il ne peut faire autrement. Son regard flirte entre les plats et son invité.
« Comment s’est passé ta journée ? » Se contente-t-il de lui poser comme question, afin de lancer un sujet et éviter d’aborder ceux qui fâchent.
Il est bien entendu intéressé par la question. Il est toujours curieux d’en savoir plus sur l’homme qu’il est devenu loin de lui. Il a beau avoir prétendu le contraire, son attention n’a pas manqué un élément de ce qu’il a pu dire depuis le jour où il a réapparu dans sa vie.
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TW : aucun.
Mon amant me retourne le compliment. Je sens au ton de sa voix, à sa manière d’être, qu’il essaie de se montrer détaché, le coup de la surprise passée. Il fini par approuver l’idée que j’ai eu de choisir de la cuisine grecque alors que j’évolue naturellement au sein de l’appartement, que je commence tout doucement à connaître. J’aime ça. Même si je sais au fond de moi, que je ne dois pas m’y habituer. Que je ne dois pas le considérer comme acquis. Qu’à tout moment, Nicky pourrait faire volte face et me mettre dehors. J’essaie de faire comme si cette possibilité était inexistante. Profiter du moment présent, avec lui, est bien plus important à mes yeux que de se perdre dans ce genre de pensée.
Le vin roule dans nos verres. Nicky ne commente pas le toast que je porte à notre attention. Il fini en revanche par me faire comprendre qu’il a bien compris mes intentions pour ce soir, me tirant un sourire que je n’arrive pas à retenir. Je n’ai pas envie de le cacher, de toute façon. Si c’était le cas, je ne me serais même pas donné la peine de venir avec des fleurs.
« Avec plaisir. » je réponds d’un ton apaisé, comme si le simple fait qu’il me remercier marquait pour de bon le fait que j’avais bien fait de faire tout ça.
Mes yeux le suivent alors qu’il s’installe sur le tapis pour plus de facilité. Je dépose mon verre sur la table avant de prendre le temps d’enlever mes chaussures pour le rejoindre ensuite à même le sol. La scène qui se dessine entre nous me comble d’un bonheur simple, même si je sens clairement que Nicky n’est pas aussi à l’aise que moi. Il fait de la résistance, tout comme il l’a toujours fait depuis mon retour. Tout comme il l’a fait, le lendemain de cette nuit de luxure que nous avions partagé. Tout comme il l’a également fait, lors de nos échanges de sms. Je garde le silence, me contentant de reprendre mon verre alors que je le laisse découvrir les plats à sa guise. Je m’amuse à faire rouler le liquide carmin entre mes doigts alors qu’il me questionne. Les banalités, c’est sans doute mieux que le reste, je suppose. Comme si nous nous retrouvions tel un couple après une dure journée de travail. Comme avant.
« Elle n’a pas été de tout repos, a vrai dire. J’ai dû plonger dans la paperasse dès le matin, pour résoudre quelques soucis de permis d’urbanisme et ce genre de conneries. On a le projet de construire de nouveaux bâtiments en ville. Un gros projet, en collaboration avec la ville, pour essayer d’enrayer la pauvreté de plus en plus présente. Ça me dépassera toujours, le fait qu’il soit plus facile de détruire et de reconstruire de nouveau bâtiments à cet effet plutôt que d’en réhabiliter certains. Cela fait perdre du temps et des milliers de dollars à tout le monde, mais au moins les choses avancent un peu. »
C’était le genre de projet qui me tenaient à cœur. J’essayais d’avoir un impact positif sur la ville. Que la fortune de la famille serve réellement à quelque chose, plutôt que de juste faire fructifier nos investissements. Je me laissais aller à lui confier ce genre de chose, comme si parler de tout cela était une habitude. Une normalité. Ça me plaisait, cette intimité. Je sais que j’y prendrais goût bien trop facilement.
« Ensuite… » Ma main glissa dans mes cheveux pour les remettre en arrière, tandis que j’essayais de reconstituer le fil de ma journée. « J’ai été à l’hôpital pour voir Aurore. Son état est stable. Enfin, plus stable que ses derniers jours. Je me suis engueulé avec son médecin, comme d’habitude. Il a une façon de prendre les choses à la légère qui me hérisse le poil. Ça m’insupporte, même si je sais que c’est son boulot. »
Je repris une gorgée de vin, avant que mes yeux ne se posent à nouveau sur le brun à mes côtés.
« Enfin, rien d’incroyable. Et toi ? Raconte. »
Je déposais mon verre, pour attraper une Spanakópita, me laissant aller à l’appel de mon estomac qui commençait à gronder.
_________________ — love Baby, it's harder to breathe when you're gone. So I hold in my hands pictures of you. I'm always running to you. I’m dreaming of the day we еmbrace and combust | | | •• habitant(e) de manhattan identity card •• Date d'arrivée : 24/05/2024 •• Messages : 326 •• Dollars : 3266 •• Faceclaim : jonathan bailey •• Les crédits : SKEYDE, mars
•• Âge : 33 •• Nationalité(s) : Américain •• Statut marital : Célibataire. •• Orientation sexuelle : Bisexuel. Il aime les femmes autant que les hommes tant que c'est lui qui est au contrôle des commandes. Seulement au yeux du monde, il est hétérosexuel et le restera pour le bien être de son père. •• Métier / études : Gérant du Palace Hotel, dont le PDG de l'hôtel de son père et propriétaire et gérant de Desire. •• Quartier d'habitation : manhattan
•• More about you :
Mai 2024 :
James #01 (en cours)
Azraël #01 (à venir)
William #01 (fini)
Ulysse #01 (en cours)
Jasmine #01 (en cours)
William #02 (fini)
Juin 2024 :
William #03 (fini)
William #04 (fini)
Hailey #01 (en cours)
Juillet :
William #05 (en cours)
# vient d'une lignée aristocratique anglaise.
# est le futur héritier de sa famille.
# avait une grande-soeur de 7 ans son ainée. Elle est décédée, il y a 8 ans à la suite d'un malheureux accident de la route. Un chauffard l'a fauché alors qu'elle rentrait d'une soirée.
# s'est cru une seule fois amoureux. un ami de sa soeur de l'université. il avait 17 ans, près de 18 ans. Ils ont eu une relation passionnelle durant 8 mois, avant que ce dernier ne disparaisse du jour au lendemain sans lui donner des nouvelles avec un cadeau d'adieu.
# se considère comme un libertin. Il y a bien trop de beautés tant féminines que masculines pour se contenter que d'une seule personne.
# aime le poker. c'est un très bon joueur. jeu auquel il s'adonne dans les soirées privées qu'il tient dans son club "Desire".
# porte des lunettes pour lire, travailler et regarder la télévision.
DEAR/HAILEY Hailey, la femme de sa vie, celle qui connait chaque partie de son âme, celle qu'il compte bien prendre pour épouse et comme mère de ses enfants. Elle sera une parfaite Cavendish. Elle l'est déjà depuis des années. C'est cette âme qu'il adore profondément, lui vouant une confiance aveugle. Il l'a aimé, mais pas comme il aurait dû. Pas suffisamment. Pas de la manière qu'il aurait dû, qu'elle le mérite. Pas comme il aimé lui. Lui qui hante encore son coeur malgré son déni profond.
HONEY/WILLIAM Ce fantôme qui refait surface dans sa vie. Celui qui lui fait perdre la tête de nouveau. Ce feeling qu'il a avec cet homme est aliénant. Il a beau vouloir y résister, il succombe à chaque fois. Ses retrouvailles le perturbent au plus haut point. Il lutte pour ne pas lui offrir de nouveau ce qu'il lui a pris avant de disparaitre, mais le coeur à ses raisons que sa raison ignore.
we're curiousLe petit plusTriggers: aucun a partir du moment qu'on en discute.Warnings: Homicide involontaire (accident de la route, décès), drogues (consommation de cannabis), pratiques sexuelles anormales (libertinage), jeux d’argent (poker), milieu de la nuit (prostitution), maladie (cancer, retrait d'un rein) age-gap (7 ans).Pronoms IRL: elle.Pseudo: mary.Pseudo discord: mary_30Multicomptes: zachary smith, lucas deschamp, angel olivaresHabitude rp: J'écris au il, en français. En moyenne, je fais entre 400 et 1000 mots en fonction de l'inspiration. Je privilégie la qualité à la quantité.Couleur rp: Disponibilité rp: | Nicholas Cavendish Dim 14 Juil - 11:52 Love me tonight with @William Price
TW : aucun.
(Tenue/Song). L’aisance de William le met sur les nerfs, parce qu’au fond, il lui envie cette désinvolture qui est pourtant la sienne habituellement. Il aimerait la retrouver, avoir la capacité de pouvoir se détacher de tout ce qu’il peut dire ou faire, mais c’est plus fort que lui : il y est sensible. Bien trop sensible à son gout. Pourtant, il suit sagement les volontés de son invité. Il vient prendre à ses côtés, trinque à ce repas qu’il a ramené pour eux, pour ce duo qui ne devrait plus en être un. Pourtant au fond de lui, il sait qu’ils demeurent un duo, car un lien invisible les lie l’un à l’autre. Ils ne sont pas rien. Si c’était le cas, ils ne graviteraient pas l’un autour de l’autre, l’un cherchant l’attention de l’autre pour se sentir respirer à nouveau. Il est pourtant parvenu à vivre sans lui. En réalité, il a aimé sa vie sans lui. Tout était plus simple. Il n’avait pas à se sentir tourmenter jour et nuit. Malgré tout, il lui manquait quelque chose : cette connexion. Cet impressive besoin d’être en contact avec l’autre. Il ressent cela avec Hailey, qu’il aime tendrement, mais cette passion-là, ingérable et enivrante, il ne l’a expérimenté qu’avec lui. C’est difficile à l’admettre, à tolérer qu’il ressente ce manque, tout comme ce besoin d’aller vers lui malgré tout. Il n’y a rien de sain à cela, mais ces battements prompts dans sa poitrine étaient à la fois source d’allégresse et de tourment. Il veut se laisser tenter, sans pourtant parvenir à le faire réellement. Il est un funambule qui marche sur un fil qui pourrait rompre au moindre instant. Cette tension, il la doit à des sentiments qu’il cherche à réprimer, mais qui sont encore présentement là. Il a beau vouloir le nier, l’évidence est là, alors qu’il fait encore un pas vers lui pour en savoir plus sur lui. Il est avide de ces informations pour nourrir son imaginaire, sa connaissance de lui. Il sent que William a parfaitement conscience du combat qu’il engendre en lui. Il pourrait le prendre mal comme il a l’habitude de le faire et ça allumerait forcément la bombe qui exploserait entre eux de nouveau, car il n’y a que dans l’intensité de leurs émotions que la vérité éclate. Elle est parfois mordante, cinglante, mais elle finit par se révéler, derrière l’orgueil habituellement affiché. Il y a bien trop de fierté entre eux pour qu’il en soit autrement. Cependant il n’en fait rien. Il se plie de bonne grâce à l’exercice. Il lui permet de découvrir un pan de son travail, des intérêts qu’il sert au quotidien. Un aspect philanthrope de sa personnalité qui ne laisse pas indifférent. Il semble avoir cette détermination dans sa manière de poser les choses qui prouvent qu’il va au bout de ses intentions coute que coute, prêt à se battre. Ce qui lui confère une saveur douce et amère. Il est prêt à se battre pour les autres, pour ses intérêts financiers, mais il n’a pas eu la même rigueur avec eux. Cela ne l’a pas dérangé de l’abandonné. Cette rancune persiste malgré lui. Il ne préfère rien répondre. Il plonge ses lèvres dans le nectar de ce vin. Il en boit une longue gorgée pour faire passer cette tristesse qui vient pourlécher sa poitrine. L’envie de plonger dans l’ivresse est terriblement tentante. Il n’en fait rien. Comme s’il suivait le fil de ses pensées, il change de sujet, aborde le sujet de sa sœur. Il lui prouve encore une fois qu’il est prêt à se battre pour obtenir ce qu’il espère. Cela l’amène à prendre une brochette de Souvlaki qu’il vient glisser entre ses lèvres dans un mouvement un peu prompt. Il ne peut pas faire autrement, mais il remarque son geste alors il tente de le faire passer sous de l’empressement alors qu’il savoure un morceau de viande. Il se sent con d’être jaloux d’une sœur ou d’un travail qui le passionne, mais ça ne fait que renforcer sa pensée qu’il n’était pas suffisant pour lui donner envie de se battre. C’est difficile à digérer. Cela pique sa fierté, pour ne pas dire ses sentiments. Seulement, il ne compte pas l’assumer. William lui demande de parler de sa journée. Il finit son verre qu’il dépose sur la table basse alors qu’il prend le temps de finir sa brochette en adoptant une attitude qu’il veut rendre plus décontractée qu’elle ne l’est en réalité.
« J’ai rattrapé l’ensemble de mon retard à l’hôtel. Rien d’extraordinaire. Ce sont même plutôt des problématiques basiques du quotidien, mais j’ai également géré les différents plannings, notamment les dossiers de nos clients qui vont privatiser certaines parties de l’hôtel pour divers évènements ou cérémonies. Le droit à l’erreur est inenvisageable alors je me dois d’être très vigilant. Ils paient des sommes astronomiques pour que cela le soit et mes salariés savent qu’ils n’ont pas le droit à l’erreur, sous peine d’entacher l’image de l’hôtel. » Il lui indique alors qu’il vient reposer la brochette sur la table basse.
« En tout cas, je vois que tu as toujours cette âme de guerrier quand il s’agit de te battre en quoi tu crois. C’est une bonne chose pour toi. » Il conclut malgré lui dans un ton qu’il rend détaché, mais qui est lourd de sens.
Il s’empare de la bouteille de vin pour remplir de nouveau son verre qu’il vient porter à ses lèvres, une fois rempli. Finalement l’appel de la bouteille est trop tentant. Peut-être que l’alcool lui fera oublier cette douleur qui se loge malgré lui dans sa poitrine.
_________________ Baby I'm losing my patience, I'm counting the rest of my days Dodging your love like the Matrix, trust I ain't come here to play The last thing I'll do is come chase Though I kinda like the chasing, I should've never got complacent Got the price to pay And all that I can say is I only love you when I'm losing you (c)mars.
| | | •• habitant(e) de manhattan identity card •• Date d'arrivée : 26/05/2024 •• Messages : 118 •• Dollars : 654 •• Faceclaim : Matt Bomer •• Les crédits : BlackCat, Awonaa
•• Âge : 40 •• Nationalité(s) : Anglaise et américaine •• Statut marital : Célibataire •• Orientation sexuelle : Officiellement hétérosexuel, officieusement gay •• Métier / études : Gestionnaire de biens immobiliers •• Quartier d'habitation : Manhattan we're curiousLe petit plusTriggers: Aucun, totalement ouvert à la discussionWarnings: Jeux d’argent, addictions (drogues diverses), libertinage, sexualité explicite, age-gap, maladies graves, milieu de la nuitPronoms IRL: Il/ellePseudo: BlackCatPseudo discord: (facultatif)Multicomptes: Habitude rp: J’écris à la première personne. Environ 500 mots mais ça peut être plus. Je réponds assez rapidement en général.Couleur rp: Disponibilité rp: Dispo | William Price Dim 14 Juil - 12:39 Love me tonight with @Nicholas Cavendish
TW : aucun.
J’essaie de ne pas m’attacher à chaque détail qui concerne Nicky. À chaque mimique que je peux déceler, chaque regard, chaque geste. J’essaie mais je n’y arrive décidément pas. Je la ressens, cette tension qui plane en lui et qu’il refuse d’admettre ou de libérer. Elle est dans l’air, dans cet échange qui somme toute, pourrait semblé très banale. Partager un repas, un bon vin, sur un fond musical, après tout il n’y a rien d’extraordinaire à cela, si ce n’était qu’il s’agissait de nous. Tout cela, j’aurais voulu qu’on le vive bien avant. Ou plutôt. J’aurais voulu qu’on continue de le vivre lorsque ça avait commencé, dans sa chambre d’étudiant de l’époque. J’aurais voulu ne pas être lâche et manipulable, comme j’avais pu l’être à l’époque. Nos vies auraient été différentes. Tout aurait été différent. Est-ce Hailey aurait fait partie de sa vie ? Est-ce que nous aurions eu le courage de faire face à nos familles pour leur avouer la vérité ? Est-ce que nous aurions pu vivre notre amour au grand jour ? Est-ce que nous aurions eu des enfants ? Toutes ses questions flottaient dans mes pensées, alors que je ne me lassais pas de le détailler, de m’imprégner de chaque instant de ce que nous vivions à présent.
Malgré tout, je l’écoute avec attention lorsqu’il me décrit sa journée à son tour. Je tique sur le retard dont il parle, avant de me rappeler de l’état dans lequel il avait été, avant que je débarque en trombe dans son appartement quelques jours auparavant. Cela me ramène inlassablement à ce moment, où je l’avais découvert en larmes par ma faute. Et où je ne l’avais pas supporté. Parce que c’était ma faute, une fois de plus. Parce que je l’avais rendu malade. Et maintenant, si je l’aimais réellement, n’était-ce pas complètement égoïste de ma part de me retrouver à nouveau ici, malgré tout cela ?
« Tu as l’air d’avoir beaucoup de pression sur les épaules. Ça ne doit pas être facile à gérer. Et pour tes employés non plus. »
J’étais fier de lui. De constater une fois encore l’homme qu’il était devenu. Il semblait gérer ses affaires à la perfection. Ça m’impressionnait. Vraiment, même si je ne le formulais pas comme il se devait. Sa réplique sur mon âme de guerrier me tire un sourire contrit, que je cache derrière mon verre dont je reprends une gorgée. Je comprends aisément où il veut en venir. Ça me rend triste, même si je le conçois.
« Ça n’a pas toujours été ainsi. J’ai passé beaucoup de temps à juste me laisser aller. À être celui qu’on voulait que je sois. Te perdre m’a fait l’effet d’un électrochoc. Je me suis promis que cela n’arriverait plus. Que personne ne me dicterai plus ma conduite ou me forcerait à quoi que ce soit, quitte à m’épuiser à la tâche. »
Je ne manque pas son mouvement avec la bouteille. Je l’observe se remplir à nouveau un verre, qu’il s’empresse presque de siroter à nouveau. Cela me tire un sentiment d’inquiétude que j’ai du mal à réprimer. Une tristesse atone, aussi. Est-ce qu’il fallait ça, pour qu’il supporte ma présence ? Ou bien était-ce simplement une habitude qu’il avait et dont je n’avais pas réellement pris conscience jusqu’à maintenant ? Je choisis de l’imiter, finissant mon verre à mon tour avant de le remplir à nouveau.
« Ravi de constater que tu aimes ce vin autant que moi. » je ne pu m’empêcher de glisser entre deux gorgées.
_________________ — love Baby, it's harder to breathe when you're gone. So I hold in my hands pictures of you. I'm always running to you. I’m dreaming of the day we еmbrace and combust | | | •• habitant(e) de manhattan identity card •• Date d'arrivée : 24/05/2024 •• Messages : 326 •• Dollars : 3266 •• Faceclaim : jonathan bailey •• Les crédits : SKEYDE, mars
•• Âge : 33 •• Nationalité(s) : Américain •• Statut marital : Célibataire. •• Orientation sexuelle : Bisexuel. Il aime les femmes autant que les hommes tant que c'est lui qui est au contrôle des commandes. Seulement au yeux du monde, il est hétérosexuel et le restera pour le bien être de son père. •• Métier / études : Gérant du Palace Hotel, dont le PDG de l'hôtel de son père et propriétaire et gérant de Desire. •• Quartier d'habitation : manhattan
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Mai 2024 :
James #01 (en cours)
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Juin 2024 :
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# vient d'une lignée aristocratique anglaise.
# est le futur héritier de sa famille.
# avait une grande-soeur de 7 ans son ainée. Elle est décédée, il y a 8 ans à la suite d'un malheureux accident de la route. Un chauffard l'a fauché alors qu'elle rentrait d'une soirée.
# s'est cru une seule fois amoureux. un ami de sa soeur de l'université. il avait 17 ans, près de 18 ans. Ils ont eu une relation passionnelle durant 8 mois, avant que ce dernier ne disparaisse du jour au lendemain sans lui donner des nouvelles avec un cadeau d'adieu.
# se considère comme un libertin. Il y a bien trop de beautés tant féminines que masculines pour se contenter que d'une seule personne.
# aime le poker. c'est un très bon joueur. jeu auquel il s'adonne dans les soirées privées qu'il tient dans son club "Desire".
# porte des lunettes pour lire, travailler et regarder la télévision.
DEAR/HAILEY Hailey, la femme de sa vie, celle qui connait chaque partie de son âme, celle qu'il compte bien prendre pour épouse et comme mère de ses enfants. Elle sera une parfaite Cavendish. Elle l'est déjà depuis des années. C'est cette âme qu'il adore profondément, lui vouant une confiance aveugle. Il l'a aimé, mais pas comme il aurait dû. Pas suffisamment. Pas de la manière qu'il aurait dû, qu'elle le mérite. Pas comme il aimé lui. Lui qui hante encore son coeur malgré son déni profond.
HONEY/WILLIAM Ce fantôme qui refait surface dans sa vie. Celui qui lui fait perdre la tête de nouveau. Ce feeling qu'il a avec cet homme est aliénant. Il a beau vouloir y résister, il succombe à chaque fois. Ses retrouvailles le perturbent au plus haut point. Il lutte pour ne pas lui offrir de nouveau ce qu'il lui a pris avant de disparaitre, mais le coeur à ses raisons que sa raison ignore.
we're curiousLe petit plusTriggers: aucun a partir du moment qu'on en discute.Warnings: Homicide involontaire (accident de la route, décès), drogues (consommation de cannabis), pratiques sexuelles anormales (libertinage), jeux d’argent (poker), milieu de la nuit (prostitution), maladie (cancer, retrait d'un rein) age-gap (7 ans).Pronoms IRL: elle.Pseudo: mary.Pseudo discord: mary_30Multicomptes: zachary smith, lucas deschamp, angel olivaresHabitude rp: J'écris au il, en français. En moyenne, je fais entre 400 et 1000 mots en fonction de l'inspiration. Je privilégie la qualité à la quantité.Couleur rp: Disponibilité rp: | Nicholas Cavendish Dim 14 Juil - 14:17 Love me tonight with @William Price
TW : aucun.
(Tenue/Song). Il n’a aucun mal à gérer la pression au quotidien. Il a toujours vécu avec elle et ne s’en est jamais plaint. Elle est une composante de son existence, celle qui lui a permis de devenir celui qu’il est aujourd’hui. Elle est coutumière, elle n’ombrage pas son jugement, car il en connait tous les codes. Non, cette pression est même rassurante. Elle lui donne une ligne de conduite à suivre. Ce qu’il n’arrive pas à gérer ce sont ses émotions, celles qui le terrassent pour l’homme qui se trouve à ses côtés. Il aimerait en connaître tous les codes pour pouvoir surpasser le pouvoir qu’elles ont sur lui. Il déteste se sentir amoindri, fébrile et tourmenté. Ce n'est pas lui. Cela ne devrait plus être lui. Il a l’impression de redevenir l’adolescent qu’il était, celui qui a été éconduit, blessé et triste. C’est d’autant plus frustrant, car il a le sentiment qu’il est le seul à se sentir écartelé de la sorte, car il n’a jamais eu aucun pouvoir sur leur relation. C’est William qui l’a et cela le place dans une situation inconfortable dont il aimerait se défaire, sans pouvoir y parvenir. Parce qu’au fond, il aime l’avoir là à ses côtés. Il en était accro lorsqu’ils étaient ensemble.
« La perfection nécessite de se mettre la pression. C’est quelque chose qu’on maitrise parfaitement lorsqu’on cherche à l’atteindre. Céder à la pression, c’est prendre le risque de faire des écarts. On y est habitué, toi et moi. C’est dans notre ADN. » Il lui indique simplement, car c’est la vérité.
William aussi aspire à la perfection. C’est ce qui le rend intransigeant dans les affaires, tout comme dans les évènements qu’il monte. Le gala de charité est un bel exemple de ce que la pression lui permet de réaliser, car il aspire à la perfection. Ce que ça laisse entrevoir sur leur relation est blessant. Il ne s’est pas battu pour rester à ses côtés, pour atteindre la perfection de ce qu’ils auraient dû l’être. Peut-être n’était-il pas assez important pour ce combat. C’est le sentiment qu’il en a et qui bouscule son âme avec violence. Il a voulu taire ce commentaire, mais il n’y parvient pas. Il fait passer le message. Sans doute pas de manière aussi subtile qu’il le voudrait. Il ne s’attend pas à une réponse, mais elle lui tombe dessus. Ses propos sont terriblement frustrants. Il sent cette frustration grimper en flèche en lui. Il est un sacrifice. Il a été nécessaire pour pouvoir façonner l’homme qu’il est aujourd’hui. Seulement en aucun moment, il n’est considéré dans ce qu’il s’est produit. Peut-on guérir d’une telle désillusion ? Il y a tellement cru, mais vu ses réactions, il est forcé de reconnaitre que ce n’est pas le cas. Il s’empare donc de la bouteille de vin pour se servir un autre verre. Il ne répond rien à cette remarque, car il sait l’équilibre fragile. Trop précaire à vrai dire. Il boit une gorgée de son verre. Il aimerait que l’alcool anesthésie ses sens et ses émotions. Seulement, rien n’y fait. Les émotions sont là et elles l’indisposent. Le commentaire de William lui arrache un soupir. Il aimerait l’apprécier, mais la vérité est qu’il n’a même pas conscience de la saveur qui se glisse dans son palais. Son esprit est trop ombragé par le chaos de ses émotions pour qu’il apprécie ce repas pour ce qu’il devrait être. Pourtant, il n’a pas envie de l’écourter ou même de le voir disparaitre de chez lui pour autant. Il est fatigué de ces émotions conflictuelles et en même temps, il ne peut s’empêcher de les ressentir. Par conséquent, il se saisit du boitier de cigarette qui traine sur la table. Il en tire une après avoir déposé le verre qu’il glisse entre ses lèvres. Il l’embrase, prend appui sur le canapé qui est derrière lui. Ses yeux se ferment pour tenter de faire le tri dans ses pensées et ses émotions. Il se laisse bercer par la musique du tourne disque. Il se laisse apaisé par les notes de musique, comme à chaque fois que ses émotions sont à fleur de peau. Il glisse une main dans ses cheveux pour tenter de reprendre contenance alors que ses prunelles se rouvrent pour retrouver les contours de son salon et de ce repas disposé en face de lui. Que puisse-t-il dire ? Il l’ignore. Seulement, il sait que le silence ne résoudra rien.
« La vérité, c’est que tu as trop de pouvoir sur moi, William et que je suis bien trop fier pour l’accepter. » Il lui indique en venant glisser son regard vers le sien.
« Je me sens en insécurité avec toi et étrangement, je ne peux pas m’empêcher de vouloir avoir confiance en toi. Tout est conflictuel quand ça te concerne. J’ai envie d’être avec toi, comme j’ai envie de te tenir loin de moi. Je te veux comme j’ai envie de te maintenir loin de moi. Je te déteste d’agir avec autant d’aisance, car moi, moi, tu m’as laissé derrière toi. J’ai été un sacrifice pour toi, une putain d’imperfection qu’il a fallu éradiquer alors que tu étais tout pour moi. Je me serai battu pour toi, pour nous, mais tu m’as dépossédé de tout cela et je me déteste de ressentir encore cette blessure, car elle n’a jamais cicatrisé. Tu m’as abandonné William et tu ne comprendras jamais ce que ça fait de l’avoir été, car je serais bien incapable de le faire si la situation était inversée. » Il conclut en venant reprendre sa respiration.
Elle est difficile. Il ne se rend pas compte qu’il a été en apnée jusqu’à maintenant et que ces prunelles luisent à la fois de tristesse et de frustration. Il récupère son verre pour en boire une longue gorgée et faire descendre ce poids qu’il sent sur sa poitrine. Cette réalité cruelle lui fait un mal de chien et pourtant, il ne la fuit pas. Il n’en a plus la possibilité désormais qu’il l’a fait sien de nouveau. C’est douloureux, mais bien réel malheureusement. Il ne peut plus faire machine arrière.
_________________ Baby I'm losing my patience, I'm counting the rest of my days Dodging your love like the Matrix, trust I ain't come here to play The last thing I'll do is come chase Though I kinda like the chasing, I should've never got complacent Got the price to pay And all that I can say is I only love you when I'm losing you (c)mars.
| | | •• habitant(e) de manhattan identity card •• Date d'arrivée : 26/05/2024 •• Messages : 118 •• Dollars : 654 •• Faceclaim : Matt Bomer •• Les crédits : BlackCat, Awonaa
•• Âge : 40 •• Nationalité(s) : Anglaise et américaine •• Statut marital : Célibataire •• Orientation sexuelle : Officiellement hétérosexuel, officieusement gay •• Métier / études : Gestionnaire de biens immobiliers •• Quartier d'habitation : Manhattan we're curiousLe petit plusTriggers: Aucun, totalement ouvert à la discussionWarnings: Jeux d’argent, addictions (drogues diverses), libertinage, sexualité explicite, age-gap, maladies graves, milieu de la nuitPronoms IRL: Il/ellePseudo: BlackCatPseudo discord: (facultatif)Multicomptes: Habitude rp: J’écris à la première personne. Environ 500 mots mais ça peut être plus. Je réponds assez rapidement en général.Couleur rp: Disponibilité rp: Dispo | William Price Dim 14 Juil - 14:51 Love me tonight with @Nicholas Cavendish
TW : aucun.
Je médite quelques secondes sur sa réponse. Il a raison, cette pression, elle est dans notre ADN. C’est dans ce sens que nous avons été élevé et que nous vivons, lui comme moi. J’enchaîne sur mes explications, tentant vainement d’expliquer à quel point le quitter a eu de l’impact sur mon existence. J’ai l’impression d’ouvrir la boîte de pandore, une fois de plus. Pourtant cette fois, il n’y a pas d’éclats de voix, pas de dispute ni de larmes. Il n’y a que la tristesse, qui émane de nous deux. J’aimerais tellement avoir le pouvoir d’effacer la sienne. De la faire disparaître, de lui faire comprendre que la chance qu’il me donne maintenant, je ne la laisserais pas passer. Je me retrouve démuni, sans savoir quoi lui offrir pour le lui prouver, bien conscient que mes attentions de ce soir ne suffiront pas. Le regard qu’il me lance m’ébranle au moins autant que ses paroles. Nicky est fatigué. De moi. Du pouvoir que j’ai sur lui. De tout ce que je lui fais vivre depuis que je suis revenu dans sa vie. Sa sincérité brise quelque chose en moi. Mon cœur ne sait plus comment réagir, s’accrochant désespérément à ses mots lorsqu’il avoue qu’il a envie d’être avec moi, avant de s’écraser la seconde suivante, lorsqu’il dit vouloir m’éloigner. Mon regard doit briller, alors que sa vérité sort de sa bouche. Je l’ai abandonné. C’est un fait. Mais je ne peux pas accepter qu’il ose dire qu’il n’était qu’une imperfection.
« Tu n’as jamais été une imperfection. Tu étais tout pour moi aussi, j’étais juste trop stupide pour m’en rendre compte. J’ai paniqué et je ne me le pardonnerais jamais. Je n’avais pas le droit de fuir comme je l’ai fais. »
La vision de lui en train de fumer appelle mes propres envies. Je bouge, étant mes jambes pour extirper mon paquet de ma poche, d’où je sors moi aussi une cigarette.
« Mais tu as raison, je ne comprendrais jamais ce que ça fait, si tu ne le fais pas à ton tour. »
La tige s’embrase. Les volutes de fumée ne tardent pas à remplir la pièce. Je laisse mes bras reposer sur mes jambes, le regard perdu dans le vague, sur la décoration qui orne les murs de son salon.
« J’agis avec aisance parce qu’avec toi, je n’ai aucun contrôle. Je me laisse aller à mes sentiments. Je ne réfléchis pas. Je laisse parler mon cœur sans me poser de questions. J’essaie de profiter du moindre moment à tes côtés, en sachant que tout pourrait s’arrêter en un instant. Parce que je sais à quel point je te fais du mal. Je sais que je ne devrais même pas être ici maintenant. Je suis égoïste. Je le sais. »
Et pourtant, je suis toujours là. Pourtant, il faudrait qu’il me mette dehors pour que je bouge. Après tout cela, je n’ai en réalité qu’une envie, celle de retrouver son contact. De l’embrasser, de le couvrir de tout mon amour, comme si cela avait le pouvoir de chasser la peine et le désarroi qui semble tant le ronger. Pourtant, je n’en fais rien, préférant noyer tout cela dans le vin qui trône encore dans mon verre, que je fini d’une traite avant de reprendre un nouveau verre.
_________________ — love Baby, it's harder to breathe when you're gone. So I hold in my hands pictures of you. I'm always running to you. I’m dreaming of the day we еmbrace and combust | | | •• habitant(e) de manhattan identity card •• Date d'arrivée : 24/05/2024 •• Messages : 326 •• Dollars : 3266 •• Faceclaim : jonathan bailey •• Les crédits : SKEYDE, mars
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# vient d'une lignée aristocratique anglaise.
# est le futur héritier de sa famille.
# avait une grande-soeur de 7 ans son ainée. Elle est décédée, il y a 8 ans à la suite d'un malheureux accident de la route. Un chauffard l'a fauché alors qu'elle rentrait d'une soirée.
# s'est cru une seule fois amoureux. un ami de sa soeur de l'université. il avait 17 ans, près de 18 ans. Ils ont eu une relation passionnelle durant 8 mois, avant que ce dernier ne disparaisse du jour au lendemain sans lui donner des nouvelles avec un cadeau d'adieu.
# se considère comme un libertin. Il y a bien trop de beautés tant féminines que masculines pour se contenter que d'une seule personne.
# aime le poker. c'est un très bon joueur. jeu auquel il s'adonne dans les soirées privées qu'il tient dans son club "Desire".
# porte des lunettes pour lire, travailler et regarder la télévision.
DEAR/HAILEY Hailey, la femme de sa vie, celle qui connait chaque partie de son âme, celle qu'il compte bien prendre pour épouse et comme mère de ses enfants. Elle sera une parfaite Cavendish. Elle l'est déjà depuis des années. C'est cette âme qu'il adore profondément, lui vouant une confiance aveugle. Il l'a aimé, mais pas comme il aurait dû. Pas suffisamment. Pas de la manière qu'il aurait dû, qu'elle le mérite. Pas comme il aimé lui. Lui qui hante encore son coeur malgré son déni profond.
HONEY/WILLIAM Ce fantôme qui refait surface dans sa vie. Celui qui lui fait perdre la tête de nouveau. Ce feeling qu'il a avec cet homme est aliénant. Il a beau vouloir y résister, il succombe à chaque fois. Ses retrouvailles le perturbent au plus haut point. Il lutte pour ne pas lui offrir de nouveau ce qu'il lui a pris avant de disparaitre, mais le coeur à ses raisons que sa raison ignore.
we're curiousLe petit plusTriggers: aucun a partir du moment qu'on en discute.Warnings: Homicide involontaire (accident de la route, décès), drogues (consommation de cannabis), pratiques sexuelles anormales (libertinage), jeux d’argent (poker), milieu de la nuit (prostitution), maladie (cancer, retrait d'un rein) age-gap (7 ans).Pronoms IRL: elle.Pseudo: mary.Pseudo discord: mary_30Multicomptes: zachary smith, lucas deschamp, angel olivaresHabitude rp: J'écris au il, en français. En moyenne, je fais entre 400 et 1000 mots en fonction de l'inspiration. Je privilégie la qualité à la quantité.Couleur rp: Disponibilité rp: | Nicholas Cavendish Dim 14 Juil - 17:56 Love me tonight with @William Price
TW : aucun.
(Tenue/Song). Il pose ses émotions par des mots. Il prend le risque de le faire, car de toute manière il est mis au pied du mur. Cette fébrilité est là et il ne compte pas la laisser le dévorer. Il a beau être faible face à William, il n’est pas que ce jeune homme qui est tombé amoureux de lui durant ses jeunes années, il est aussi un homme qui mord la vie à pleine dent et qui n’a aucune faiblesse. Du moins sauf Hailey et cet homme même si ça le tue de l’avouer. Il a bien trop de fierté pour se laisser dominer dans un échange, quand il ne l’a pas décidé, mais en même temps ce qu’il ressent pour lui est incontrôlable. C’est là et il doit gérer cela. Surtout la douleur que cela lui inflige d’avoir été sacrifié, qu’il n’ait pas eu le courage d’affronter les choses pour lui, pour rester à ses côtés. C’est une vieille blessure qui s’impose à lui, qui le rend triste ce soir alors qu’il le sent capable d’affronter les vents et les marées pour les autres combats qu’il mène. Est-ce qu’il peut entendre que cela lui est difficile de lui reconcéder un droit qu’il a si lâchement abandonné sans un regard en arrière ? William lui indique qu’il n’a jamais été une imperfection. Il était tout pour lui aussi. Vraiment ? Nicholas a tant de mal à le croire quand il songe à la manière dont il l’a quitté. Il a été stupide, c’est une certitude. Il a paniqué et il ne se le pardonnera jamais. Enfin, il admet qu’il n’avait pas le droit de fuir comme il l’a fait. Seulement, il l’avait fait et ça avait fait écrouler toute la confiance qu’il lui avait donné. Son silence et son départ précipité avait été la pire sentence qu’il lui avait infligée. Il aurait encore préféré qu’il lui mente, qu’il le convainc qu’il ne l’aimait plus. Cela aurait fait mal, mais il n’aurait pas eu la sensation de ne pas être assez, encore plus avec son mot et son cadeau d’adieu qu’il lui avait laissé comme pour amoindrir une douleur. Quelle douleur exactement ? Il était parti comme un voleur, bon sang ! Nicholas ferme ses paupières pour tenter de nouveau de faire le tri dans ses émotions. Il est évident qu’il ne comprendra jamais ce que ça fait d’être laissé derrière. Il se sait bien incapable de le faire. Il le sait. Sans doute que William aussi. Sinon, il aurait pu le laisser boire jusqu’à l’inconscience dans ce bar, il aurait pu se contenter de lui avoir brisé le cœur lors du soir du gala, ne pas reprendre contact avec lui ce soir encore. Il avait été incapable de laisser lettre morte aux sentiments de William. Il était faible. Encore amoureux de lui, malgré lui, malgré tout. Il réouvre ses paupières après avoir pris une bonne inspiration. Il tire sur sa cigarette pour tenter de détendre ses nerfs. Ses lèvres s’abreuvent d’une nouvelle gorgée de ce vin qui n’a pas plus de gout que lors de la précédente gorgée. Du moins pour ce soir, car il sait qu’il s’agit d’un grand cru qu’il devrait apprécier, mais dont il est incapable. William lui indique qu’il n’a aucun contrôle avec lui. Il laisse se sentiments s’exprimer. Il profite du moindre instant en sa compagnie en sachant que cela pourrait s’arrêter à tout instant. Il a conscience du mal qu’il a fait, qu’il ne devrait pas être là. Pourtant, il est là, face à lui, en sachant qu’il pourrait ne pas y avoir d’issues à ses aspirations. Pourquoi ? La réponse, il la connait. C’est la même qui le pousse à revenir vers lui malgré sa fierté, celle qui fait qu’il ne peut s’empêcher de vouloir rester là à ses côtés à partager un repas avec lui ou à le laisser entrer dans son lit pour dormir ou pour une nuit passionnée. Il boit une longue gorgée de son vin. Il a besoin de contrer cette intensité d’émotions qui lui retourne le ventre. Surtout lorsqu’il sent son regard peser sur lui. Il sait clairement ce qui lui passe par la tête, mais tout comme lui, il préfère se refugier dans l’alcool. Quel avenir peuvent-ils escompter avoir ? Il l’ignore. William est plutôt constant dans ses intentions. Il est celui qui hésite, qui résiste, sans doute parce qu’il appréhende de se laisser piéger de nouveau sous l’intensité du regard de cet homme. Il craint de redevenir accro à lui, à cette intimité qui le ravit comme elle le tourmente. Il est terrifié par l’idée de lui redonner sa confiance, ces bouts d’âmes qui ne se sont dévoilées qu’à lui. Pourtant, il l’a déjà fait et à ce moment-là, il était heureux. Il ne veut formuler aucune promesse. Un soupir s’épanche de ses lèvres alors qu’il vient écraser sa cigarette dans le cendrier qu’il pose entre eux.
« J’ignore comment agir avec toi, William. Depuis toi, je n’ai eu qu’Alix comme petit ami récurant et ça a duré trois mois. Les relations sont devenues étrangères de mon vocabulaire. J’ai bien des amis avec qui il m’arrive de m’aventurer sur une partie de jambes en l’air, mais tu ne peux pas faire partie de cette catégorie, car tu es plus. Tu as toujours été plus, bon sang. » Il soupire de frustration alors qu’il penche la tête en arrière.
« J’ai bien conscience d’être inconstant. Il y a encore avant-hier, tu étais dans mes draps en train de me faire l’amour. Tu m’as consumé comme aucun homme n’a jamais su le faire. Ce serait un mensonge de nier que je n’en meurs pas d’envie. Notre connexion est unique, mais je ne parviens pas à savoir quelle place, je souhaite que tu ais dans ma vie. J’ai peur de tomber encore plus bas et encore plus violemment si ça devait se casser la gueule de nouveau. » Il conclut en lui offrant un regard humble, mais tiraillé.
Il accepte de lui narrer ce qu’il ressent au plus profond de ses tripes. L’envie est là, puissante, mais la confiance est si fragile. Pourtant, il sait qu’il ne peut pas rebrousser chemin, car il en est incapable. Pas après leur dernière étreinte, pas alors qu’il s’est senti si parfaitement à sa place sous ses lèvres, ses doigts et son corps. Pas alors qu’il aspire à goûter de nouveau à cela, car c’est essentiellement cela qui le met en agonie : ce désir de lui.
_________________ Baby I'm losing my patience, I'm counting the rest of my days Dodging your love like the Matrix, trust I ain't come here to play The last thing I'll do is come chase Though I kinda like the chasing, I should've never got complacent Got the price to pay And all that I can say is I only love you when I'm losing you (c)mars.
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