Come on, baby, light my fire !

-- Outfit -- Depuis que j'ai déniché et obtenu ce superbe appartement, je dois avoue que j'aime beaucoup cet endroit, jamais je n'aurais pensé pouvoir passer d'une chambre en colocation sur le campus à un endroit rien qu'à moi avec une vue splendide dur Manhattan comme mon logement est presque dans les derniers étages. Mais je m'en donne les moyens, et mon activité parallèle qui consiste à vendre mes charmes contre des espèces sonnantes et trébuchantes, enfin quand elles arrivent sur mon compte, me permets de payer mon loyer sans retard. Cerise sur le gâteau ? La piscine sur le toit, réservée aux locataires de l'immeuble, je me demande si les habitants en sont vraiment conscients parce que je suis presque seule à chaque fois que j'y viens. Aujourd'hui ne déroge pas à la règle, je me suis baignée durant une bonne demi-heure avant de m'étendre sous le soleil sur un transat.

Plus tôt dans la journée j'ai parlé à mon ami Tulío d'un plan avec un client pour lequel j'aurais peut-être besoin de lui, parler de tout ça m'a un peu émoustillée je dois bien me l'avouer et n'ayant rien d'autre de prévu que mes révisions pour les deux prochains jours, je profite de prendre un peu de temps pour moi. Revenant dans mon appartement, je reste en maillot de bain, j'ai pris l'habitude depuis que je ne vis plus au Colorado de me balader en petite tenue dans mon appartement, je suis chez moi, très haut dans les étages, pas de vis-à-vis, pourquoi je m'en priverai ? Un courant d'air me fait frissonner et je vérifie les fenêtres, il y a quelque chose que je ne comprends pas dans cet appartement, il y a toujours un courant d'air quelque part, même quand les fenêtres sont fermées. Cela me donne une idée et attrapant mon téléphone je me risque à envoyer un message à mon propriétaire. Il est jeune, plus âgé que moi tout de même, peut-être dix ans de plus, et physiquement totalement mon genre, alors un jour lorsqu'il est passé pour une vérification, je me suis amusée à tester mes charmes sur lui et on peut dire qu'il a été réceptif, il est arrivé quelques fois que j'utilise le prétexte des courants d'air dans mon appartement pour lui proposer de passer pour vérifier ou après plusieurs parties de jambes en l'air je ne me gêne plus de lui proposer de venir me réchauffer un peu.

C'est ce que je fais aujourd'hui, j'ai envie de m'amuser un peu et quelques besoins à combler, aussi quand il me dit être libre et pouvoir passer dans la demie-heure j'en suis plus que ravie. Je finis par troquer mon maillot de bain pour un ensemble de lingerie alors que l'on continue de s'échanger des messages, lorsque finalement j'entends doucement toquer à la porte, je pose mon téléphone est sans pudeur aucune je vais ouvrir la porte et souris, ravie de voir mon cher propriétaire. "Bien sûr que j'ai entendu tes grattement contre ma porte chaton !" M'approchant de lui, je viens lui glisser à l'oreille. "Je me demandais juste si c'était tes doigts ou une autre partie de ton corps qui frappait à ma porte." Pivotant doucement, je fais quelques pas dans l'entrée, lui offrant une vue parfaite sur ma chute de reins, le laissant me suivre et refermer derrière moi.

@Luca Bianchi

Come on, baby, light my fire !

-- Outfit -- J'ai beau mener cette sorte de double vie depuis deux ans, j'aime ces deux aspects, j'aime être Circé, plaire aux hommes et leur prodiguer du plaisir, passer de bons moments en leur compagnie et voir mon compte en banque se remplir lorsque je vends mes charmes. Mais ce n'est qu'une activité parallèle, je suis d'abord Grace, cette jeune étudiante en Histoire de l'Art qui est passionnée par ce qu'elle fait. Je vis ma vie totalement librement, loin de mon Colorado natale, j'ai des amis, j'ai accès à une multitude de lieux culturels, je peux aller dans les plus grands musées quand bon me semble. J'aime ma vie, aussi étrange que cela puisse paraitre, j'aime toute ce que je fais, ce que je vis, que cela soit considéré comme immoral ou sulfureux, je m'en moque, j'assume mes choix même si je garde privé ce que je peux faire comme travail pour arrondir mes fins de mois. Il m'est arrivé quelques fois de faire du charme à Luca pour baisser un peu le loyer les mois un peu plus difficile, proposant de payer la différence en nature. Mais coucher avec lui reste une partie de plaisir, après tout il est un des hommes que je vois qui ne paie pas pour avoir accès à mon corps, et je l'aime bien alors ça me va très bien. Il connait Grace, mais ne connait pas l'existence de Circé.

"Ho si tu trouves que ma tenue est indécente, je peux aller mettre un pull et un pantalon pour couvrir tout ça …" Je le taquine parce que je sais très bien que la tenue dans laquelle je me présente à lui n'est pas pour lui déplaire, je vois bien son regard et j'aime sentir ses yeux me cajoler. Sa main se posant sur ma hanche j'apprécie ce premier contact et j'aime sa répartie, le fait qu'il n'ait pas froid aux yeux et que l'on sache pertinemment tous les deux le but de cette invitation à venir chez moi. Ses lèvres se pose furtivement sur ma joue et je plonge mon regard dans le sien. "Une autre partie de ton anatomie qui ne demande qu'à être cajolée … je me demande bien laquelle, il va falloir que j'investigue ça !"

Pivotant pour lui offrir une vue parfaite sur mon corps, je l'entends fermer la porte derrière nous et du coin de l'œil je vois sa veste être posé sur un meuble. Il me rejoint et une fois dans le séjour, alors qu'il s'installe sur le canapé, il m'attire sur ses genoux et je passe un bras autour de son cou alors que ses mains se posent sur mes hanches. "Je serais une locataire indigne si je ne proposais pas quelque chose à boire à mon très cher propriétaire…" Je me penche et dépose mes lèvres au coin des siennes avant de me dégager de son étreinte et me relever, me tenant debout devant lui dans ma petite tenue. Faisant mine de réfléchir j'énumère en comptant sur mes doigts. "Café, thé, j'ai du jus de fruit ou de la bière ou alors …" M'approchant, posant tour à tour chacun de mes genoux de part et d'autre de ses cuisses, je viens m'installer sur lui. "…ou alors peut-être que tu préfères te désaltérer à une autre source ?" En disant cela j'attrape doucement une de ses main et la conduis sur mon entrejambe dont il ne peut ignorer la chaleur.

@Luca Bianchi

Come on, baby, light my fire !

-- Outfit --  La simplicité avec laquelle je peux arriver à mes fins avec cet homme est sans doute ce qui me plait le plus, le fait que je puisse jouer de mes charmes sans transactions financières est assez libérateur. Avec mes clients, le plus souvent je les laisse croire que ce sont eux qui mènent la danse et que je me plie à tous leurs désirs sans la moindre réserve leur fait plaisir. Ici c'est différent, d'un côté je mène toujours la danse, mais si j'ai envie de lui et de m'offrir à lui c'est uniquement de mon fait et en aucun cas une question d'argent, bien qu'une ou deux fois il m'est arrivé de négocier une baisse de loyer compensée en nature.

Mais aujourd'hui si j'offre mon corps ainsi peu vêtu à son regard, c'est parceque ça me plait de sentir ses yeux me dévorer et alors que je le taquine en proposant d'aller enfiler un peu et un pantalon, mon sourire ne fait que s'élargir lorsqu'il conteste ce fait, faisant mine de réfléchir pour finir par refuser que je passe d'autres vêtements. Je me laisse plus que volontiers attirer sur ses genoux mais je n'y reste que quelques instants avant de me relever et me tenir devant lui pour énumérer les boissons que je pourrais lui offrir avant de revenir à califourchon sur ses cuisses et lui proposer de se de désaltérer d'une autre manière.

Me faisant on ne peut plus claire sur mes intentions je dirige l'une de ses mains sur la dentelle recouvrant mon intimité et à ses mots je suis plus que ravie que mon programme lui convienne. Son autre main vient caresser tour à tour ma cuisse, ma hanche avant de venir s'ancrer au creux de mes reins me faisant frissonner. J'aime ce naturel qu'il y a désormais entre nous, pas de non-dit, pas d'ambiguïté, nous savons tous les deux pourquoi nous sommes là et que nos jeux nous plaisent sans s'embarrasser de sentiments ou d'autres pensées qui pourraient venir parasite nos esprits. Ma main libre vient se poser sur sa joue alors que je sens ses doigts caresser la dentelle faisant graduellement monter la chaleur au creux de mes reins que d'un lent mouvement je viens faire danser contre son bassin. Mon visage s'approche dangereusement du sien, mes lèvres frôlant les siennes sans pour autant les toucher, me faisant violence pour ne pas succomber trop vite, j'aime cette tension et je souris. "J'ai tellement de chance d'avoir un propriétaire si prévenant …" lorsqu'il me demande, alors que ses doigts quittent la dentelle pour venir remonter jusqu'à mon nombril, s'il peut visiter mon appartement, mon visage glisse le long de la ligne de sa mâchoire et mes lèvres happent doucement le lobe de son oreille avant d'y susurrer. "Je serai une bien piètre locataire si je ne te faisais pas visiter toutes les pièces …"

@Luca Bianchi

Come on, baby, light my fire !

-- Outfit --  J'aime sa manière de faire, ses métaphores et surtout que l'on sache très bien lui comme moi ce que l'on attend de ce petit tête-à-tête spontané. J'aime lui donner chaud en me remuant doucement sur son bassin, mais je me donne chaud à moi-même je ne peux le nier. Je laisse un petit cri de surprise et un éclat de rire s'échapper de mes lèvres lorsqu'il nous fait pivoter et que je me retrouve allongée sur le canapé, mon très charmant propriétaire au-dessus de moi avant de fermer les yeux une seconde et soupirant d'aise en sentant sa main se faufiler sous la dentelle.


@Luca Bianchi

Come on, baby, light my fire !

-- Outfit --  S'il y a bien une chose que j'apprécie, c'est le dévouement avec lequel mon charmant propriétaire se soucie du bien-être de ses locataires. Je ne sais pas s'il agit de la sorte avec tous, mais de mon côté j'aime profiter de son attention.



@Luca Bianchi