•• More about you : Avec l'âge vient la sagesse, mais parfois l'âge vient seul (Oscar Wild).
Pour Gordon, l'âge vient non pas avec la sagesse, mais bien le pouvoir. Le pouvoir d'arriver à ses fins. Le pouvoir de contrôler chacune des sphères de sa vie, mais aussi celles de ceux qui croisent sa route. Et cette soif de pouvoir ne saurait jamais être étanchée.
Le petit plus Triggers: Rien, mes p'tits loups Warnings: Sexe, prostitution, trafic de drogue. Pronoms IRL: Elle Pseudo: Fanaud Pseudo discord: Fanaud Multicomptes: Gabriel , Manuela , Thanos et Joseph Habitude rp: J'écris à la troisième personne et pour ce qui est du nombre de mots, je dirai ceci : trop. Je ne connais pas encore ma fréquence de RP, mais sûrement 2-3 fois par mois. Couleur rp: Disponibilité rp: 0 /5
Gordon Cumberland
Sam 2 Nov - 21:39
Now my bedsheets smell like you
I like it when you take control Even if you know that you don't Own me, I'll let you play the role I'll be your animal❥
TW : sexualité - 18 +
Je réalisais à cet instant la chance inouïe que j'avais d’avoir croisé la route de Circé. Qu'une jeune étudiante en art, éblouissante de beauté, ait accepté de partager avec moi des moments aussi intimes, alors que j'avais presque le double de son âge, me laissait sans voix. Jamais je ne lui mettais de pression; elle avait toujours la liberté de dire non, d’annuler un rendez-vous, et je n'aurais jamais pu lui en tenir rigueur. Ce qui m’impressionnait, c’était la manière avec laquelle elle exerçait son métier, une aisance et une maîtrise qui forçaient l’admiration. C'était fascinant de voir autant de savoir-faire et de contrôle chez une jeune femme de son âge.
Elle me faisait frissonner d'envie en m'assurant qu'elle tiendrait sa promesse de se faire pardonner même si nous savions tous les deux qu'elle n'avait rien à se reprocher. Elle respectait ses désirs et ses limites avec une rigueur que j'admirais.
Je ne pouvais m’empêcher de rire lorsqu’elle suggéra, taquine, qu’elle aurait tout aussi bien pu enfiler une tenue de ski. " Peu importe ce que tu choisis de porter, je sais que je finirai toujours par obtenir ce que je veux, " dis-je, mes mains glissant doucement sur ses courbes avec assurance.
Après l’avoir aidée à se défaire de sa robe, elle revint vers moi, le regard pétillant de malice. Sa poitrine se pressa contre mon torse, et mes mains, incapables de résister, parcoururent sa peau avec désir, effleurant chaque courbe comme pour la redécouvrir. Je sentis ses frissons sous mes doigts tandis que mes lèvres et ma langue exploraient chaque centimètre de son corps, savourant les soupirs qui s’échappaient d’elle. Je m’arrêtai un instant, capturant son regard avec le mien, un sourire espiègle au coin des lèvres, avant de murmurer : « J’espère que toutes ces autres facettes sauront te séduire… »
La soif me tenaillait, c’est pourquoi j'avais habilement attrapé ce verre de champagne à portée de main. Mais à peine une idée malicieuse avait-elle germé dans mon esprit que Circé m'avait déjà devancé, lisant dans mes pensées avant même que je ne passe à l'action. Cette complicité, cette manière presque télépathique de deviner nos désirs, m’envoûtait. Après avoir pris quelques gorgées, elle laissa le liquide doré couler lentement sur sa poitrine, sous mes yeux ébahis. Face à une telle invitation, je n’allais certainement pas me faire prier.
Ma langue glissait avec avidité sur sa peau soyeuse, recueillant chaque goutte du précieux nectar, s'attardant sur un mamelon que je savourais avec délice. Circé ondulait contre moi, son corps presque nu attisant mon désir à chaque mouvement, me faisant littéralement perdre la tête. Mes mains, fermement agrippées à ses fesses rebondies, la maintenaient près de moi, l’empêchant de s’échapper, tandis que je sentais mon sexe se durcir, comprimé dans la tension grandissante de mon pantalon. À cet instant, une seule envie m'assaillait : sentir ses mains explorer mon corps, déboutonner les derniers boutons de ma chemise, puis détacher ma ceinture, ses yeux plongés dans les miens.
Je me redresse et, d'une main, j'empoigne sa chevelure pour la tirer doucement en arrière. Mes lèvres titillent son lobe d'oreille alors que je lui murmure à voix basse : « Il semblerait que j’aie moi aussi besoin d’un peu d’aide pour me débarrasser de tous ces vêtements... Un petit coup de main serait des plus appréciés… »
Je me recule contre le dossier du canapé, m'assurant d'avoir une vue imprenable sur elle, tout en lui offrant un meilleur accès à mon torse partiellement dénudé. Je mordille ma lèvre inférieure, mes mains glissant le long de ses cuisses, s'aventurant parfois jusqu'à la cordelette de son string, mes gestes empreints d'une lenteur provocante.