Le petit plus Triggers: Warnings: Pronoms IRL: Pseudo: Pseudo discord: Multicomptes: Zenia (L. Paleta), Nina (S. Bush), Ambre (V. Efira) Habitude rp: je joue en je, entre 300 et 800 mots selon inspiration Couleur rp: Disponibilité rp:
Tu m'as tellement manqué TW: langage vulgaire, travailleuse du sexe
C’est officiel, notre soirée était foutue laissant place à une énorme dispute, fin à une dispute, il faut dire que l’on ne sait se prendre la tête gentiment, cela prends toujours d’énormes proportions. En même temps, nous sommes deux sang chaud alors quand notre colère se pointe, ça fait des ravages. Gemma est blessée tout autant que moi, je le vois à son expression physique, elle se referme sur elle-même, camouflant la Gemma sensible pour ne laisser sortir que la garce méprisante, son meilleur rôle sans disant passant. Je vois cette colère dans ses yeux et la froideur de sa posture, tout ce qui sortira de sa bouche à partir de maintenant ne sera que des mots blessant. Sans parler que je viens de ruiner sa nourriture, le sacrilège ultime, mais c’est œil pour œil, pizza pour pizza, moi aussi, je peux faire mal.
Comme je m’y attendais, madame râle pour la nourriture jetée au sol, mais je n’y prête aucune attention, ce n’est pas de cette putain de pizza qu’il s’agit à cet instant, mais de sa capacité à ne pas me faire confiance, à ne me voir que comme une fille influençable. Je déteste cela, je ne suis pas une marionnette qu’on agite à sa guise, non, je suis une personne à part entière, je pensais qu’elle avait compris avec le temps. Même quand j’étais son employé, je m’exécutais dans le seul but d’être auprès d’elle et parce que j’aimais la sensation de désir que me procurer les clients sinon j’aurais tout envoyé valser depuis longtemps.
La tension était plus que palpable dans la pièce, chacune attendant de répondre avec plus de hargne à l’autre afin de gagner cette joute verbale. Gemma commença à se mouvoir dans la pièce faisant résonner ses talons sur le sol. Je la regarder vers la fenêtre, m’offrant la vue sur son magnifique postérieur. Oui, je suis en colère contre elle, mais cela ne m’empêche pas de désirer son corps de reine, d’ailleurs nos meilleures parties de sexe sont celle évoqué par la colère, c’est d’ailleurs comme ça que tout a commencé entre nous.
« Je ne t’ai jamais demandé d’être ma mère ! Tu sais très bien que je me suis soigné après mon overdose, que je ne suis pas aussi faible. J’ai bien retenu la leçon Gemma, je ne vais pas me refaire du mal dès que tu me blesseras, je ne suis plus comme ça. » Je me rappelle les mots qu’elle m’avait dits un jour, avoir peur que je ne supporte pas une autre rupture et que je remette ma vie en péril. « C’est toi qui es venue me reconquérir, c’est toi qui es venue me chercher alors si tu ne me penses pas à la hauteur, il fallait me laisser tranquille. »
J’avais appris à revivre sans elle, je ne suis plus la vulgaire catin que j’étais et ça me met en rage qu’elle ne se rende pas compte de tous les progrès que j’ai fait dans ma vie. Et le plus arrangeant et qu’elle ne me laisse même pas m’expliquer, préférant m’insulter directement.
« Tu vois ce ridicule message, je l’ai reçu parce que je n’ai même pas pris la peine de prévenir mes clients que j’avais arrêtés cette vie. Alors, oui, de temps en temps, j’ai des rappels de ce que j’étais, mais je ne replongerais pas là-dedans. Certes, auparavant, j’avais besoin de ces regards plein de désirs pour me sentir vivante, aujourd’hui, j’ai d’autres raisons pour me sentir en vie. » Je baisse mes yeux, la colère laissant place à la peine et la déception. « Tu sais quoi pense ce que tu veux, je ne veux pas me faire passer pour une drama queen plus longtemps comme tu le dis si bien. »
(c) princessecapricieuse
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Butterfly fly away
I think, i choose the light. I grew up, I came a long way. From now on I want to make the right decisions and get out of the darkness. But never without you baybe BY PHANTASMAGORIA
My :
« Gemma Santantonio »
•• habitant(e) de manhattan
identity card
•• Date d'arrivée : 17/03/2023
•• Messages : 1355
•• Dollars : 4036
•• Faceclaim : Lana Parrilla
•• Les crédits : Red
•• Âge : 44
•• Nationalité(s) : Américaine, mais avec une touche d'italien et un soupçon de porto-ricain, alors méfiez-vous, elle a un sacré caractère!
•• Statut marital : Gemma, c'est une sacrée coquine, et gourmande quand elle veut! Elle est toujours prête à s'amuser et à explorer de nouveaux horizons, à tenter de nouvelles expériences. Malgré son amour profond, et sincère pour sa tendre Louisa, elle reste fidèle à elle-même. Sa libertinage n'a pas de prix! Elle laisse aussi de la place dans son lit pour d'autres qui lui tiennent à cœur, comme Gordon et Zenia. Ils font partie intégrante de sa vie, et Louisa le sait même si, elle aimerait avoir l'exclusivité.
•• Orientation sexuelle : Tu sais que tu es au sommet du bonheur quand tu fais trempette avec ta frite dans du jus de moules. C'est le paradis sur terre ! Alors sérieusement, que tu sois la frite, la moule, ça glisse tout seul
•• Métier / études : A la tête d'un empire de la drogue et du trottoir, elle est la fière propriétaire d'une maison close : the Red Cellar.
•• Quartier d'habitation : Manhattan
•• More about you :
we're curious
Le petit plus Triggers: Maltraitance animal essentiellement; Warnings: Mon personnage ne peut pas plaire à tout le monde, alors n'hésitez pas à me consulter si des sujets délicats vous touchent de près. Pronoms IRL: Moules fraîche. Pseudo: Red911 Pseudo discord: Red911 Multicomptes: Sara sans h, et Dario, le chasseur de moules! Habitude rp: J écris en JE. Couleur rp: Puisque tout est bon dans le cochon, j'écris en gras. Disponibilité rp: Tu peux venir me voir mon enfant
Tu m'as tellement manqué TW: langage vulgaire, travailleuse du sexe
Je tournai brusquement mon regard vers Louisa, la rage brûlante dans mes yeux. Chaque pas résonnait dans la pièce, lourd, déterminé. Mon cœur battait à tout rompre, mais la douleur se fondait dans la colère. À quoi bon garder mon calme après tout ce qu’il venait de se passer ?
Depuis qu’on est ensemble, Louisa, t’aurais dû le faire. T’aurais dû leur dire, à tes clients, que t’es plus cette putain, que t’as arrêté de vendre ton corps, que t’as choisi une autre vie. Je marquai une pause, la tension dans l’air palpable. T’aurais dû mettre un terme à tout ça, couper les ponts, t’éloigner de ce passé qui te colle encore à la peau. Et surtout, t’aurais dû leur faire comprendre qu’ils n’avaient plus de place dans ta vie.
Je me rapprochai un peu plus près, mon regard glacé planté dans le sien. Mais non, tu continues de recevoir leurs messages, comme si rien n’avait changé. Tu veux vraiment me faire croire que ça ne te touche pas, que tu n’es pas encore là-dedans ? Parce que moi, je vois juste une petite fille perdue qui a du mal à laisser son passé derrière elle, et ça, ça me fout en rogne.
Je laissai le silence s’installer, chaque mot devenant de plus en plus lourd.
Je me sentais soudainement nauséeuse, la douleur dans mon ventre me rappelant sans cesse que je portais un enfant, que mon corps n'était plus le mien. Une vague de crampes me traversa, et je serrai les dents pour ne pas me laisser aller. J'ignorais encore combien je pouvais supporter. C'était pas le moment de flancher.
Mais autre détail des conneries qui sortent de ta bouche, tu crois vraiment que je suis venue te chercher par faiblesse, Louisa ?! Je criai, ma voix déchirant l’air, chaque mot frappant comme un poignard. Je m’avançais vers elle, mes poings serrés, mais mes yeux restaient fixés sur elle, impitoyables. T’as rien compris, hein ?
Je m’arrêtai devant elle, respirant plus fort, ma poitrine se soulevant au rythme de ma colère. La douleur dans mon bas-ventre se fit plus pressante, mais je l’ignorai. Oui, j’ai déconné, et toi aussi. Tu me parles de ton changement, de ta rédemption… Tu veux qu'on fasse un putain de tableau d'honneur pour tes progrès ? Parce que, dans ce cas, j’ai bien une nouvelle à t’annoncer : je me fous royalement de ce que tu penses être devenu. Je ris, mais c’était un rire amer, empli de rancœur. C’est un putain de discours de merde.
Je me penchai légèrement en avant, ma voix se faisant plus basse, plus acerbe. J’ai pas besoin que tu me dises que tu te sens vivante, Louisa. Moi aussi je me sens vivante, mais c’est pas avec des conneries comme ça que tu vas me faire changer d’avis. Je fis une pause, me repliant légèrement sur moi-même, les poings toujours fermés. Une autre crampe me fit presque m’effondrer, mais je me redressai d'un coup. Dis-moi, ça te ferait quoi, si Gordon, ou même Zenia, m’envoyaient des messages disant qu’ils ont envie de moi ? Est-ce que ça te plairait, sachant que tu passes un bon moment avec ta copine, et qu'elle reçoit ça ? Je pris une grande inspiration, mes nerfs à vif, la douleur de ma grossesse pulsant dans chaque fibre de mon corps. Quand nous sommes ensemble, Louisa, c’est nous deux. Bordel !
Je fis un pas en arrière, les larmes me brûlant presque les yeux, mais je les retenais. Je n’allais pas céder à la douleur maintenant. J’en ai marre. Marre de me battre, marre de toujours devoir te prouver quelque chose.
Et là, j’ai compris. La gaffe. Gordon. C’était censé être un secret, mais j’avais explosé.
(c) princessecapricieuse
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I got caught up in the atmosphere, feeling alive and free under the sparkling stars of the Puerto Rican night.. •• amaranth ♫♪